Selon l’ingénieur informaticien, Hien Toto Jean Paul, et par ailleurs directeur de l’informatique de la documentation et des archives dans ledit ministère, l’implémentation de ce système intervient dans un contexte marqué par le développement de l’électronique.

« On parle désormais au plan mondial de e-gouvernance, ce qui impose une gestion plus efficace des services publics. Ce système informatique permettra s’il est validé à l’issue de cet atelier, de centraliser, organiser, traiter, et diffuser auprès des bénéficiaires et en cas de besoins des informations documentaires via son équipement terminal une fois connecté à Internet »,  a signifié M. Hien.

Pour cela, plusieurs outils sont soumis à réflexions et critiques des acteurs de ce ministère. Il s’agit du référentiel de gestion qui montre comment organiser une codification des informations et les mettre dans les fichiers pour accès facile, le cahier de charges fonctionnel qui permet de décrire les fonctions dont doit disposer le système, le cahier de charge descriptif, la maquette du système qui permet de l’apprécier dans son ensemble et enfin l’architecture qui présente les interconnexions du système aux documents centralisés.

Cet atelier, qui se déroule avec l’appui technique du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), a été marqué par la présence du secrétaire général de préfecture Yapi Claude Ogou, représentant le préfet de région des Grands Ponts, préfet du département de Dabou.

(AIP)