Le conseil municipal veut un développement harmonieux de la ville. (Ph: Dr)
Tafiré : Des études sur des plans de développement présentées
Sounkalo Coulibaly dit Charles Sanga, maire de Tafiré et son conseil municipal ont sollicité l’expertise du Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd) pour la réalisation de documents de planification. Il s'agit du plan d’urbanisme directeur et du plan stratégique de développement local.
Après six mois d'investigations, du 12 au 13 septembre, un atelier de restitution du diagnostic de planification et de programmation a été organisé.
Le 12 septembre, à l’ouverture de cet atelier, au centre culturel de Tafiré, il a rappelé que ces prospections ont été lancées le 7 mars. « Ces études sont le fruit de plusieurs mois de travail acharné, de consultation et de collaboration avec divers acteurs de notre commune », a-t-il indiqué.
Selon lui, l’événement qui les réuni est capital, en ce sens qu’il s’agit de passer au peigne fin toutes les propositions qui traduisent, en termes de plans et de programmes réalisables, la vision de la commune de Tafiré pour les prochaines années.
« Tout développement doit être pensé et planifié. La prospective crée un cadre cohérent d’actions sur la base d’une vision », a-t-il justifié.
Pour le premier magistrat de la commune, plus que jamais, le conseil municipal et lui sont engagés dans la voie du développement inclusif, afin de faire de leur ville un lieu où il fait bon vivre.
Aussi, il a adressé des mots de gratitude au vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné, qui est très attentif à tout ce qui touche au bien-être des populations de cette agglomération dont il est originaire. « Il suit la réalisation de ces programmes », a-t-il assuré.
Jean Kouakou, chef de service au département urbanisme et développement territorial au Bnetd, a procédé à la restitution de ces études qui reflètent les besoins de toutes les couches. « Le maire ne peut pas mettre en œuvre sa politique de développement, sans l’aval des populations », a-t-il fait remarquer.
Aussi, il a rappelé que, à la suite de ce compte rendu, les participants vont se retrouver en atelier pour traduire en actions concrètes ces besoins. « Ces besoins vont faire l’objet de fiche projet et, une fois les financements obtenus, le maire aura à sa disposition les moyens pour impulser le développement pour le bonheur de ses administrés », a-t-il souligné.
Par ailleurs, il a révélé que les secteurs de l’agriculture, l’éducation, la voirie et l’industrie font partie de ces études.
CORRESPONDANT REGIONAL
Le 12 septembre, à l’ouverture de cet atelier, au centre culturel de Tafiré, il a rappelé que ces prospections ont été lancées le 7 mars. « Ces études sont le fruit de plusieurs mois de travail acharné, de consultation et de collaboration avec divers acteurs de notre commune », a-t-il indiqué.
Selon lui, l’événement qui les réuni est capital, en ce sens qu’il s’agit de passer au peigne fin toutes les propositions qui traduisent, en termes de plans et de programmes réalisables, la vision de la commune de Tafiré pour les prochaines années.
« Tout développement doit être pensé et planifié. La prospective crée un cadre cohérent d’actions sur la base d’une vision », a-t-il justifié.
Pour le premier magistrat de la commune, plus que jamais, le conseil municipal et lui sont engagés dans la voie du développement inclusif, afin de faire de leur ville un lieu où il fait bon vivre.
Aussi, il a adressé des mots de gratitude au vice-Président de la République, Tiémoko Meyliet Koné, qui est très attentif à tout ce qui touche au bien-être des populations de cette agglomération dont il est originaire. « Il suit la réalisation de ces programmes », a-t-il assuré.
Jean Kouakou, chef de service au département urbanisme et développement territorial au Bnetd, a procédé à la restitution de ces études qui reflètent les besoins de toutes les couches. « Le maire ne peut pas mettre en œuvre sa politique de développement, sans l’aval des populations », a-t-il fait remarquer.
Aussi, il a rappelé que, à la suite de ce compte rendu, les participants vont se retrouver en atelier pour traduire en actions concrètes ces besoins. « Ces besoins vont faire l’objet de fiche projet et, une fois les financements obtenus, le maire aura à sa disposition les moyens pour impulser le développement pour le bonheur de ses administrés », a-t-il souligné.
Par ailleurs, il a révélé que les secteurs de l’agriculture, l’éducation, la voirie et l’industrie font partie de ces études.
CORRESPONDANT REGIONAL