N’Dah Hennock (meilleur jeune cycliste du Tour de Côte d’Ivoire) : "Je veux être un grand champion"
Quel regard pouvez-vous jeter sur le 30e Tour de Côte d’Ivoire qui vient de s’achever ?
Dans l’ensemble, nous avons participé à une belle compétition. Ça n’a pas été facile au début. Nous avons eu du mal à nous positionner dans le peloton. Tous nos coureurs d’expérience étaient absents. Mais Dieu merci, nous avons fini en beauté.
Vous attendiez-vous à terminer meilleur jeune de la compétition ?
Je ne m’y attendais pas vraiment. C’est la deuxième fois que je participe au Tour de Côte d’Ivoire, mais j’étais confiant. Je savais que je pouvais faire quelque chose. J’ai tout donné et à la fin, j’ai remporté la 6e étape et j’ai pu conserver le maillot du meilleur jeune du Tour de Côte d’Ivoire à la fin de la compétition. J’étais en concurrence avec un Malien qui était plus expérimenté que moi. Je suis vraiment heureux. Merci à mes coéquipiers qui m’ont vraiment aidé à tenir jusqu’au bout.
A quel moment avez-vous su que vous pourriez faire la différence ?
Je l’ai dit tantôt ; j’avais confiance en mes qualités de sprinter et rouleur. Dès que j’ai eu l’occasion de partir en échappée, je n’ai pas hésité. Je me suis donné à fond. C’est vrai que j’étais vite sorti, ce qui a été plus difficile à assurer, mais j’ai tenu bon jusqu’à remporter la 6e étape, Bouaké-Katiola, la première pour l’équipe ivoirienne.
Quelles sont vos ambitions en tant que cycliste ?
Je veux être un grand champion. Je ne vise pas seulement l’Afrique. Je compte continuer de travailler durement pour être de plus en plus performant et faire partie des meilleurs du vélo du continent et dans le monde, à l’image de l’Érythréen Biniam Girmay, mon idole. C’est vrai que je suis un étudiant en administration des affaires, mais le vélo compte beaucoup pour moi.
Propos retranscrits par
Envoyée spéciale sur le Tour
Vous attendiez-vous à terminer meilleur jeune de la compétition ?
Je ne m’y attendais pas vraiment. C’est la deuxième fois que je participe au Tour de Côte d’Ivoire, mais j’étais confiant. Je savais que je pouvais faire quelque chose. J’ai tout donné et à la fin, j’ai remporté la 6e étape et j’ai pu conserver le maillot du meilleur jeune du Tour de Côte d’Ivoire à la fin de la compétition. J’étais en concurrence avec un Malien qui était plus expérimenté que moi. Je suis vraiment heureux. Merci à mes coéquipiers qui m’ont vraiment aidé à tenir jusqu’au bout.
A quel moment avez-vous su que vous pourriez faire la différence ?
Je l’ai dit tantôt ; j’avais confiance en mes qualités de sprinter et rouleur. Dès que j’ai eu l’occasion de partir en échappée, je n’ai pas hésité. Je me suis donné à fond. C’est vrai que j’étais vite sorti, ce qui a été plus difficile à assurer, mais j’ai tenu bon jusqu’à remporter la 6e étape, Bouaké-Katiola, la première pour l’équipe ivoirienne.
Quelles sont vos ambitions en tant que cycliste ?
Je veux être un grand champion. Je ne vise pas seulement l’Afrique. Je compte continuer de travailler durement pour être de plus en plus performant et faire partie des meilleurs du vélo du continent et dans le monde, à l’image de l’Érythréen Biniam Girmay, mon idole. C’est vrai que je suis un étudiant en administration des affaires, mais le vélo compte beaucoup pour moi.
Propos retranscrits par
Envoyée spéciale sur le Tour