Les organisateurs de l'événement étaient en conférence de presse au siège de l'Unjci, au Plateau, pour annoncer la couleur de cette première édition. (Ph: Dr)
Les organisateurs de l'événement étaient en conférence de presse au siège de l'Unjci, au Plateau, pour annoncer la couleur de cette première édition. (Ph: Dr)
Promotion du patrimoine artistique: Trois jours pour magnifier la culture senoufo et honorer Péléforo Gbon Coulibaly
La ville de Korhogo abritera, du 14 au 16 novembre, la première édition de Folklorama, qui attend au moins 20 000 participants.
Les 14, 15 et 16 novembre ont été retenus pour la1re édition de Folklorama, un événement culturel inédit, conçu dans la visée de la pérennisation et l’internationalisation du savoir artistique et culturel profond des différents peuples de Côte d’Ivoire. Porté par la structure Viva Prod Record, l’événement est consacré, pour ce coup d’essai, au district des Savanes qui regroupe les régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué.
Les grandes lignes ont été présentées en conférence de presse, le 25 septembre, à la Maison de la presse, au Plateau. « Nous avons décidé d’aller à la rencontre des richesses inestimables de notre patrimoine immatériel. L’objectif est de les identifier, les ressasser, les produire et en faire une large diffusion tant au niveau national qu’international », a expliqué Dr Angeline Yegnan, commissaire générale du Folklorama, qui avait à ses côtés Raymond Bi Tizié, président directeur général de la structure organisatrice de l’événement.
Ignace Koffi, le directeur artistique, a ajouté : « Nous entendons, à travers ce festival, participer à une démarche scientifique globale de reconnaissance et de célébration des valeurs culturelles traditionnelles, en attirant le regard des puristes de l’art traditionnel sur la nécessité de collecte, de production, de digitalisation et de promotion culturelle ».
On l’aura donc compris, Floklorama veut faire de la Côte d’Ivoire une véritable terre des arts, de la culture et du tourisme, en contribuant à l’épanouissement et à la visibilité de ceux qui les portent. Ce qui explique la tenue d’un concours de danse traditionnelle qui sera le point saillant du festival, le 16 novembre, au centre culturel de Korhogo.
Ce concours est doté de récompenses substantielles avec une enveloppe globale de 5 millions de F Cfa à répartir entre les trois lauréats qui seront retenus sur les neuf troupes de danse qui y participeront. Les deux autres temps forts sont l’exposition-vente qui se tiendra sur les trois jours, au Musée Péléforo Gbon Coulibaly de Korhogo avec une soixantaine de stands prévus et les panels qui se dérouleront dans l’enceinte de l’université éponyme.
Cette phase de réflexion se fera en partenariat avec l’Unesco, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix et l’université hôte.
Péléforo Gbon Coulibaly, le patriarche de la famille Gbon Coulibaly, sera simplement honoré durant tout le festival qui attend au minimum 20 000 participants.
Ignace Koffi, le directeur artistique, a ajouté : « Nous entendons, à travers ce festival, participer à une démarche scientifique globale de reconnaissance et de célébration des valeurs culturelles traditionnelles, en attirant le regard des puristes de l’art traditionnel sur la nécessité de collecte, de production, de digitalisation et de promotion culturelle ».
On l’aura donc compris, Floklorama veut faire de la Côte d’Ivoire une véritable terre des arts, de la culture et du tourisme, en contribuant à l’épanouissement et à la visibilité de ceux qui les portent. Ce qui explique la tenue d’un concours de danse traditionnelle qui sera le point saillant du festival, le 16 novembre, au centre culturel de Korhogo.
Ce concours est doté de récompenses substantielles avec une enveloppe globale de 5 millions de F Cfa à répartir entre les trois lauréats qui seront retenus sur les neuf troupes de danse qui y participeront. Les deux autres temps forts sont l’exposition-vente qui se tiendra sur les trois jours, au Musée Péléforo Gbon Coulibaly de Korhogo avec une soixantaine de stands prévus et les panels qui se dérouleront dans l’enceinte de l’université éponyme.
Cette phase de réflexion se fera en partenariat avec l’Unesco, la Fondation Félix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix et l’université hôte.
Péléforo Gbon Coulibaly, le patriarche de la famille Gbon Coulibaly, sera simplement honoré durant tout le festival qui attend au minimum 20 000 participants.