Exploitation minière artisanale : « Plus du 1/3 des autorisations minières semi-industrielles et artisanales octroyées à ce jour sont inactives », estime Coulibaly Seydou
La Direction générale de mines et de la géologie (Dgmg) a organisé le lundi 30 septembre 2024, à Abidjan-Plateau, un atelier sur le thème : « Importance de la prospection, de l’exploration minière et des modalités d’accès des exploitants au financement de l’exploitation minière artisanale et à petite échelle ».
Cet atelier vise à permettre aux exploitants miniers de s’approprier des enjeux et des contributions de la prospection minière préalable à l’exploitation minière et à mettre en lumière les solutions relatives aux modalités d’accès au financement de l’exploitation minière artisanale à petite échelle (Emape).
Il s’agit également de promouvoir l’importance et la nécessité de la prospection minière préalable à une exploitation minière durable; d’identifier les obstacles pratiques, techniques et règlementaires rencontrés par les exploitants dans la réalisation de la prospection minière; de proposer des solutions pour faciliter et encourager les artisans miniers à la réalisation de la prospection minière mais aussi et surtout d’examiner le mécanisme actuel de financement pour l’Emape et identifier ses insuffisances.
Le directeur général des mines et de la géologie, Coulibaly Seydou, a indiqué que l’exploitation minière artisanale et à petite échelle occupe une place de choix, car elle regorge des richesses importantes. « Elle mérite que nous unissions nos forces, nos intelligences pour la hisser au rang de pourvoyeur de richesses au profit de l’économie locale », a-t-il exhorté.
Malheureusement dit-il, plus du tiers des autorisations minières semi-industrielles et artisanales octroyées à ce jour sont toujours inactives. « Cette situation regrettable s’explique par le défaut de prospection préalable à l’exploitation des parcelles et surtout par l’inexistence de mécanisme d’accès des exploitants nationaux au financement des travaux de l’exploitation minière », a expliqué Coulibaly Seydou, soulignant qu’après l’orpaillage illégal, l’un des facteurs les plus importants du faible rendement de l’emape en 2023 dont la production oscille entre 200 et 700 kg depuis 2019 , pour un total d’autorisations 249 semi-industrielles et 183 artisanales.
En effet, les statistiques actuelles tenues par la direction générale des mines et de la géologie établissent que plus de 45% des autorisations d’exploitation minière semi-industrielles sont dans la pratiques concédées à des tiers ou en sous-traitance.
Au regard de ce tableau peu reluisant, il est impératif pour le rayonnement de l’activité de l’Emape de trouver des réponses aux problèmes de cette situation en réfléchissant à des procédés devant mener les acteurs à s’approprier la nécessité de prospection en exploitation minière à petite échelle et trouver des stratégies de financement à cette activité.
Il s’agit également de promouvoir l’importance et la nécessité de la prospection minière préalable à une exploitation minière durable; d’identifier les obstacles pratiques, techniques et règlementaires rencontrés par les exploitants dans la réalisation de la prospection minière; de proposer des solutions pour faciliter et encourager les artisans miniers à la réalisation de la prospection minière mais aussi et surtout d’examiner le mécanisme actuel de financement pour l’Emape et identifier ses insuffisances.
Le directeur général des mines et de la géologie, Coulibaly Seydou, a indiqué que l’exploitation minière artisanale et à petite échelle occupe une place de choix, car elle regorge des richesses importantes. « Elle mérite que nous unissions nos forces, nos intelligences pour la hisser au rang de pourvoyeur de richesses au profit de l’économie locale », a-t-il exhorté.
Malheureusement dit-il, plus du tiers des autorisations minières semi-industrielles et artisanales octroyées à ce jour sont toujours inactives. « Cette situation regrettable s’explique par le défaut de prospection préalable à l’exploitation des parcelles et surtout par l’inexistence de mécanisme d’accès des exploitants nationaux au financement des travaux de l’exploitation minière », a expliqué Coulibaly Seydou, soulignant qu’après l’orpaillage illégal, l’un des facteurs les plus importants du faible rendement de l’emape en 2023 dont la production oscille entre 200 et 700 kg depuis 2019 , pour un total d’autorisations 249 semi-industrielles et 183 artisanales.
En effet, les statistiques actuelles tenues par la direction générale des mines et de la géologie établissent que plus de 45% des autorisations d’exploitation minière semi-industrielles sont dans la pratiques concédées à des tiers ou en sous-traitance.
Au regard de ce tableau peu reluisant, il est impératif pour le rayonnement de l’activité de l’Emape de trouver des réponses aux problèmes de cette situation en réfléchissant à des procédés devant mener les acteurs à s’approprier la nécessité de prospection en exploitation minière à petite échelle et trouver des stratégies de financement à cette activité.