Mara'Monde 2024 : Confusion au niveau des effectifs
Tous ceux qui suivent la Coupe du monde de maracana, à Abidjan, se sont aperçus d’une chose. Certaines équipes ont des joueurs, avec des consonances ivoiriennes. C’est le cas de la Belgique, de la Jamaïque, des États-Unis, du Canada, de la France... Dans toutes ces équipes, l’on reconnaît des Ivoiriens. Ce sont des binationaux.
« Nous sommes des Ivoiro-canadiens. Parmi nous, il y a des Canadiens de souche, notre vice-capitaine Williams, par exemple. Nous sommes organisés en fédération au Canada. Nous avons des clubs dans plusieurs régions. Nous avons un club à Montréal, aux Trois-îles et bien d’autres. Nous sommes réunis dans une fédération qui organise régulièrement des tournois grâce à notre président, Cissé Mamadou », a fait savoir Coulibaly Lancina, le coach adjoint des maracaniers canadiens.
Si au Canada, les joueurs sont réunis en fédération, ce n’est pas encore le cas aux États-Unis. « Tous nos joueurs ont la nationalité américaine, mais ce sont des Ivoiriens d’origine. Les autorités américaines savent que nous sommes actuellement en Côte d’Ivoire pour participer à cette compétition. Nous n’avons pas encore de fédération, mais nous continuons de nous battre pour l’avoir. Il faut dire que ceux qui sont présents à ce tournoi sont ceux qui étaient disponibles. Surtout que, nous avons payé à nos frais nos billets d’avion vu que nous n’avons pas encore de sponsors. La Fédération internationale de Maracana associations (Fimaa) s’occupe de tout le reste sur place », a développé Mamagou Gueye, le coach de la Team Usa.
Il a aussi expliqué qu’ils ont un club dénommé « Maracana club de New York » qui représente la Fimaa, dont le président est Ibrahima Bamba.
A l’en croire, c’est ce dernier qui a initié les uns et les autres à cette discipline en vue de sa promotion après l’avoir pratiquée plusieurs années en Côte d’Ivoire.
Etienne Kouadio, vice-président chargé de la communication de la Fédération ivoirienne de maracana et disciplines associées (Fimada), a reconnu que l’institution s’est appuyée sur la diaspora ivoirienne pour la promotion du maracana à travers le monde.
« Je sais que dans le cadre de la promotion, on ne peut que s’appuyer sur la diaspora ivoirienne à l’étranger. Certains, avant de partir, ont appartenu à des clubs ici, avec qui ils ont gardé le contact. C’est donc normal qu’ils prennent 1 ou 3 joueurs ici pour compléter l’équipe afin de minimiser les frais de billets d’avion », a-t-il révélé. C’est donc ce qui justifie cette forte présence des Ivoiriens dans les autres équipes.
Si au Canada, les joueurs sont réunis en fédération, ce n’est pas encore le cas aux États-Unis. « Tous nos joueurs ont la nationalité américaine, mais ce sont des Ivoiriens d’origine. Les autorités américaines savent que nous sommes actuellement en Côte d’Ivoire pour participer à cette compétition. Nous n’avons pas encore de fédération, mais nous continuons de nous battre pour l’avoir. Il faut dire que ceux qui sont présents à ce tournoi sont ceux qui étaient disponibles. Surtout que, nous avons payé à nos frais nos billets d’avion vu que nous n’avons pas encore de sponsors. La Fédération internationale de Maracana associations (Fimaa) s’occupe de tout le reste sur place », a développé Mamagou Gueye, le coach de la Team Usa.
Il a aussi expliqué qu’ils ont un club dénommé « Maracana club de New York » qui représente la Fimaa, dont le président est Ibrahima Bamba.
A l’en croire, c’est ce dernier qui a initié les uns et les autres à cette discipline en vue de sa promotion après l’avoir pratiquée plusieurs années en Côte d’Ivoire.
Etienne Kouadio, vice-président chargé de la communication de la Fédération ivoirienne de maracana et disciplines associées (Fimada), a reconnu que l’institution s’est appuyée sur la diaspora ivoirienne pour la promotion du maracana à travers le monde.
« Je sais que dans le cadre de la promotion, on ne peut que s’appuyer sur la diaspora ivoirienne à l’étranger. Certains, avant de partir, ont appartenu à des clubs ici, avec qui ils ont gardé le contact. C’est donc normal qu’ils prennent 1 ou 3 joueurs ici pour compléter l’équipe afin de minimiser les frais de billets d’avion », a-t-il révélé. C’est donc ce qui justifie cette forte présence des Ivoiriens dans les autres équipes.