«Réalité Voilée» 2024: Exposition et vente d’objets d’arts pour une aide aux femmes atteintes de cancers
« Réalité Voilée » se veut un événement artistique qui a pour vocation de mettre en lumière les inégalités sociales, culturelles et économiques en Afrique. L’édition 2024 qui est d’ailleurs la deuxième se déroulera du 11 au 31 octobre à Cap-Sud sis à Marcory (Abidjan). "Femmes en Mouvement" en est le thème. Il a été choisi pour rendre hommage aux femmes africaines qui affrontent au quotidien, les difficultés, certaines réalités de la vie, les maladies et qui malgré cela, font montre d’une grande détermination et de courage pour relever les défis et participent au développement de leurs communautés.
Lors d’une conférence de presse, le mardi 1er octobre 2024, à Cocody-Angré, le Commissaire général, Yoan Yassi, a expliqué que ces réalités complexes de la gent féminine seront exposées au public à travers des tableaux d’arts et de grosses œuvres du 11 au 31 octobre. Plusieurs artistes de renommée nationale seront présents. Au nombre de ceux-ci, le commissaire général cite Ibn Cheick, Mounou Désiré Koffi et Tehe Richmond, etc. Ils participeront, à la première journée (le vendredi 11 octobre à 19h), à un vernissage lors duquel la population aura droit à un live painting.
L’évènement sera singulièrement marqué par une vente aux enchères prévue le 25 octobre. Une partie des fonds recueillis permettra d’accompagner la Fondation femmes shunamites en action (FFSA) qui œuvre pour la prise en charge de femmes malades du cancer du sein et du cancer du col de l’utérus. Il s’agira précisément pour 2024 d’apporter un appui financier à ladite Fondation pour l’acquisition d’une valisette utile dans la prise en charge de ces femmes victimes de cancers. Boblai Isabelle représentant cette organisation bénéficiaire s’est dit honorée et espère qu’à travers « Réalité voilée », elle aura l’occasion de sensibiliser réellement les participants sur ces maladies qui rongent certaines femmes. « La femme étant au cœur de la société, si elle est malade, c’est un véritable pilier qui est endommagé », reconnait-elle.
Après une première édition qui s’était tenue en 2021, Yoan Yassi espère toucher cette année un grand nombre de décideurs publics, politiques et privés par le truchement de cette activité en vue d’une meilleure promotion de la femme. « Pour moi, c’est de mettre ce paradoxe qu’on vit des réalités nous-mêmes de par notre lifestyle alors qu’à côté d’autres n’ont pas le minimum. On n’est pas dans une posture de juger ou de décider. Mais c’est de se dire qu’on sensibilise sur un léger éveil de conscience pour être solidaire de ceux qui vivent certaines réalités », clarifie le commissaire.
L’évènement sera singulièrement marqué par une vente aux enchères prévue le 25 octobre. Une partie des fonds recueillis permettra d’accompagner la Fondation femmes shunamites en action (FFSA) qui œuvre pour la prise en charge de femmes malades du cancer du sein et du cancer du col de l’utérus. Il s’agira précisément pour 2024 d’apporter un appui financier à ladite Fondation pour l’acquisition d’une valisette utile dans la prise en charge de ces femmes victimes de cancers. Boblai Isabelle représentant cette organisation bénéficiaire s’est dit honorée et espère qu’à travers « Réalité voilée », elle aura l’occasion de sensibiliser réellement les participants sur ces maladies qui rongent certaines femmes. « La femme étant au cœur de la société, si elle est malade, c’est un véritable pilier qui est endommagé », reconnait-elle.
Après une première édition qui s’était tenue en 2021, Yoan Yassi espère toucher cette année un grand nombre de décideurs publics, politiques et privés par le truchement de cette activité en vue d’une meilleure promotion de la femme. « Pour moi, c’est de mettre ce paradoxe qu’on vit des réalités nous-mêmes de par notre lifestyle alors qu’à côté d’autres n’ont pas le minimum. On n’est pas dans une posture de juger ou de décider. Mais c’est de se dire qu’on sensibilise sur un léger éveil de conscience pour être solidaire de ceux qui vivent certaines réalités », clarifie le commissaire.