Fresco : Onu Femmes en soutien aux actrices du secteur du vivrier à travers le programme Afawa
L’entité des Nations unies pour l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes (Onu Femmes) soutient les coopératives féminines du secteur du vivrier, à travers le projet “Afawa”.
Financé par le Groupe de la Banque africaine de développement (Bad), ce projet entend aider les femmes à promouvoir leurs produits et à leur garantir un accès facile aux marchés. Qu’elles soient organisées en entreprises individuelles ou en coopératives.
Onu Femmes a ainsi contribué à la participation de dix coopératives à une foire qui a été organisée les 11 et 12 octobre 2024, à la préfecture de Fresco, par la Fédération des femmes du secteur du vivrier de Côte d'Ivoire. C'était à la faveur de la troisième édition des journées nationales du vivrier, célébrée autour du thème : « L’apport de la femme à la sécurité alimentaire ».
Ces journées parrainées par le ministre-gouverneur du district autonome du Bas-Sassandra, Philippe Dakpa Légré, avaient pour objectif de rassembler les acteurs du secteur de l’agriculture vivrière. Cela à l’effet de leur permettre de présenter leurs différents produits agricoles dans des stands d’expositions-ventes.
Les femmes ont pu, à l’occasion, bénéficier d’une formation sur les techniques de vente, de réseautage et d’accès aux marchés publics.
Conduites par la présidente de leur fédération, Gbakayoro Lucie, elles ont été vivement encouragées et félicitées par le ministre-gouverneur. Ces femmes sont issues pour la plupart de quatre régions du pays. A savoir, le Gbêkê, le Bélier, les Lagunes et le Tonkpi.
"Sincèrement merci pour tout, félicitations et continuez de travailler parce que la Côte d'Ivoire a besoin de se nourrir sans importer de la nourriture. On ne veut pas importer du riz, du piment, de la tomate, de l’oignon ni quoi que ce soit", a exhorté Philippe Légré.
Il trouve aberrant que la Côte d'Ivoire dépense 454 milliards de F Cfa dans l’importation de riz, en dépit des vastes étendues de parcelles cultivables dont elle dispose.
Onu Femmes a ainsi contribué à la participation de dix coopératives à une foire qui a été organisée les 11 et 12 octobre 2024, à la préfecture de Fresco, par la Fédération des femmes du secteur du vivrier de Côte d'Ivoire. C'était à la faveur de la troisième édition des journées nationales du vivrier, célébrée autour du thème : « L’apport de la femme à la sécurité alimentaire ».
Ces journées parrainées par le ministre-gouverneur du district autonome du Bas-Sassandra, Philippe Dakpa Légré, avaient pour objectif de rassembler les acteurs du secteur de l’agriculture vivrière. Cela à l’effet de leur permettre de présenter leurs différents produits agricoles dans des stands d’expositions-ventes.
Les femmes ont pu, à l’occasion, bénéficier d’une formation sur les techniques de vente, de réseautage et d’accès aux marchés publics.
Conduites par la présidente de leur fédération, Gbakayoro Lucie, elles ont été vivement encouragées et félicitées par le ministre-gouverneur. Ces femmes sont issues pour la plupart de quatre régions du pays. A savoir, le Gbêkê, le Bélier, les Lagunes et le Tonkpi.
"Sincèrement merci pour tout, félicitations et continuez de travailler parce que la Côte d'Ivoire a besoin de se nourrir sans importer de la nourriture. On ne veut pas importer du riz, du piment, de la tomate, de l’oignon ni quoi que ce soit", a exhorté Philippe Légré.
Il trouve aberrant que la Côte d'Ivoire dépense 454 milliards de F Cfa dans l’importation de riz, en dépit des vastes étendues de parcelles cultivables dont elle dispose.
Aussi les a-t-il rassurées des actions gouvernementales allant dans le sens de leur autonomisation dans le secteur, afin qu’elles puissent poursuivre leur contribution à l’autosuffisance alimentaire de la Côte d'Ivoire.