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Cette initiative s’inscrit dans la volonté du BURIDA de renforcer les mécanismes de lutte contre la contrefaçon et de protéger les artistes en Côte d'Ivoire.

Selon Ouattara Karim, Directeur Général du BURIDA, l’objectif de cet atelier est de permettre aux étudiants, futurs professionnels et acteurs des industries culturelles et créatives, de disposer des clés nécessaires pour protéger leurs œuvres et réagir en cas de contrefaçon. L’atelier a également permis de revenir sur les notions de droit d’auteur et de droits voisins. « Cet atelier, qui a rassemblé environ 270 participants, dont 120 en présentiel à l’INSAAC et 150 en ligne via les plateformes du BURIDA, a aussi abordé des questions telles que les contrats audiovisuels et cinématographiques, ainsi que les mécanismes de protection des œuvres contre le piratage », a précisé M. Ouattara Karim. Il n’a pas manqué d’exprimer sa gratitude envers ses partenaires pour leur engagement à contribuer à l’épanouissement et au bien-être des artistes.

Pour sa part, Marc Meslin, magistrat de liaison à l’Ambassade de France, a salué les actions du BURIDA. Selon lui, la culture joue un rôle transversal et peut créer des chaînes de valeur économiquement rentables. Elle doit être intégrée dans notre mode de fonctionnement. Il a également réaffirmé le soutien et l’engagement de l’Ambassade de France aux côtés des artistes de Côte d’Ivoire pour œuvrer à leur bien-être.

Le Professeur Kouassi Kouadio Honoré, représentant le Directeur Général de l’INSAAC, M. Siaka Ouattara, a souligné que cette initiative mérite une attention particulière, car elle rejoint les nombreuses actions du BURIDA visant à renforcer les capacités des créateurs d’œuvres artistiques.

Cet atelier a également servi de plateforme à Canal+ International pour sensibiliser les participants aux méfaits du piratage, un fléau qui frappe durement les industries culturelles et artistiques du pays.

Information JB