Politique nationale : Assalé Tiémoko lance "Aujourd’hui et Demain, la Côte d’Ivoire" le 23 novembre
Le député de la nation et maire de la commune de Tiassalé, Antoine Assalé Tiémoko, lance officiellement son mouvement politique baptisé « Aujourd’hui et Demain, la Côte d’Ivoire » (Adci) le 23 novembre 2024, à Yamoussoukro.
En prélude à cet évènement que son équipe et lui veulent historique, le meilleur manager africain des collectivités 2024 a organisé une conférence de presse à Cocody-Angré, au siège de son organisation, pour donner l’information. « Le 23 novembre prochain, à Yamoussoukro, le mouvement politique Adci va faire sa sortie officielle ; sortie au cours de laquelle nous allons présenter aux Ivoiriens le projet de société de notre mouvement politique », a situé d’entrée le membre du parlement ivoirien. Qui a expliqué que le choix de Yamoussoukro n’est pas anodin.
Selon lui, Yamoussoukro, en plus d’être la capitale de la Côte d’Ivoire, est située géographiquement cœur du pays, à la croisée des chemins reliant toutes les régions. Elle symbolise donc parfaitement la Nation à laquelle aspire l’Adci : un lieu de rassemblement de tous les fils et filles du pays autour des valeurs cardinales de justice, d’équité et de mérite par le travail.
Assalé Tiémoko qui revendique 50 sections et 4 délégations régionales en seulement 3 mois, pense qu’il faut donner aux Ivoiriens une nouvelle alternative quant à la façon de faire la politique en Côte d’Ivoire. « Nous pensons que la politique peut se faire autrement dans notre pays. Quand on prend du recul par rapport aux 30 dernières années en Côte d’Ivoire, chacun de nous sait que la façon dont la politique a été pratiquée a plus concouru à diviser, à fragiliser plutôt qu’à construire une nation unie autour de valeurs partagées par tous les Ivoiriens », a dépeint le jeune député. Qui a annoncé que son mouvement vient proposer la rupture d’avec les anciennes habitudes.
La nouvelle idéologie que prône le président de l’Adci est « une société de confiance », en opposition avec « la société de défiance » dans laquelle baigne aujourd’hui la Côte d’Ivoire. Selon lui, cette dernière ne crée pas la confiance entre Ivoiriens, entre les citoyens et les institutions de la République, une société qui ne met pas l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
C’est pourquoi, l’Adci, en se lançant officiellement dans l’arène politique le 23 novembre, vient proposer une rupture afin de donner une égale chance à tous les Ivoiriens en droits et devoirs. « Aucun pays au monde ne s’est développé en dehors d’un concept de société de confiance ; confiance entre les citoyens eux-mêmes ; confiance entre les citoyens et les acteurs publics ; confiance entre les citoyens et les institutions de la République. Notre vision est de faire en sorte que les Ivoiriens redécouvrent ce sentiment important pour un pays qu’est l’appartenance à une cause commune qu’on appelle la Nation », a clarifié le conférencier.
Le président de l’Adci invite donc les Ivoiriens qui croient encore en la capacité de la Côte d’Ivoire à se sublimer à rallier ce mouvement pour offrir une meilleure perspective, une autre dimension, une chance nouvelle au pays, en vue de construire cette société de confiance dans laquelle le seul élément qui va faire la différence, c’est la réussite par le travail.
La journée du 23 novembre connaîtra deux articulations majeures : la cérémonie officielle qui va se dérouler à la salle des fêtes de la mairie de Yamoussoukro, et la soirée culturelle et artistique. Plus de 3 000 sympathisants et adhérents de toutes les régions de la Côte d’Ivoire sont attendus à ce grand rassemblement.
Firmin NDri Bonfils
Selon lui, Yamoussoukro, en plus d’être la capitale de la Côte d’Ivoire, est située géographiquement cœur du pays, à la croisée des chemins reliant toutes les régions. Elle symbolise donc parfaitement la Nation à laquelle aspire l’Adci : un lieu de rassemblement de tous les fils et filles du pays autour des valeurs cardinales de justice, d’équité et de mérite par le travail.
Assalé Tiémoko qui revendique 50 sections et 4 délégations régionales en seulement 3 mois, pense qu’il faut donner aux Ivoiriens une nouvelle alternative quant à la façon de faire la politique en Côte d’Ivoire. « Nous pensons que la politique peut se faire autrement dans notre pays. Quand on prend du recul par rapport aux 30 dernières années en Côte d’Ivoire, chacun de nous sait que la façon dont la politique a été pratiquée a plus concouru à diviser, à fragiliser plutôt qu’à construire une nation unie autour de valeurs partagées par tous les Ivoiriens », a dépeint le jeune député. Qui a annoncé que son mouvement vient proposer la rupture d’avec les anciennes habitudes.
La nouvelle idéologie que prône le président de l’Adci est « une société de confiance », en opposition avec « la société de défiance » dans laquelle baigne aujourd’hui la Côte d’Ivoire. Selon lui, cette dernière ne crée pas la confiance entre Ivoiriens, entre les citoyens et les institutions de la République, une société qui ne met pas l’homme qu’il faut à la place qu’il faut.
C’est pourquoi, l’Adci, en se lançant officiellement dans l’arène politique le 23 novembre, vient proposer une rupture afin de donner une égale chance à tous les Ivoiriens en droits et devoirs. « Aucun pays au monde ne s’est développé en dehors d’un concept de société de confiance ; confiance entre les citoyens eux-mêmes ; confiance entre les citoyens et les acteurs publics ; confiance entre les citoyens et les institutions de la République. Notre vision est de faire en sorte que les Ivoiriens redécouvrent ce sentiment important pour un pays qu’est l’appartenance à une cause commune qu’on appelle la Nation », a clarifié le conférencier.
Le président de l’Adci invite donc les Ivoiriens qui croient encore en la capacité de la Côte d’Ivoire à se sublimer à rallier ce mouvement pour offrir une meilleure perspective, une autre dimension, une chance nouvelle au pays, en vue de construire cette société de confiance dans laquelle le seul élément qui va faire la différence, c’est la réussite par le travail.
La journée du 23 novembre connaîtra deux articulations majeures : la cérémonie officielle qui va se dérouler à la salle des fêtes de la mairie de Yamoussoukro, et la soirée culturelle et artistique. Plus de 3 000 sympathisants et adhérents de toutes les régions de la Côte d’Ivoire sont attendus à ce grand rassemblement.
Firmin NDri Bonfils