Amélioration du climat des affaires: L’Etat et le privé en concertation dans le Gbêkê pour booster les activités économiques
Dans le cadre du dialogue public-privé, le secrétariat exécutif du Comité de concertation Etat-secteur privé a supervisé le 18 octobre 2024, à la salle de conférence de la Préfecture de Bouaké, région de Gbêkê, une réunion entre les acteurs des secteurs public et privé.
En effet, cette réunion marque la fin de la mission d’animation du Comité local de concertation Etat-secteur privé (Clcesp) de Bouaké conduite par le secrétariat exécutif du Comité de concertation Etat-secteur privé (Ccesp) qui a eu lieu du 14 au 18 octobre 2024.
Il s’est agi durant les cinq jours, pour les participants de faire le point des travaux du comité local de concertation en vue d’apprécier les acquis enregistrés, d’identifier les questions pendantes et de définir les priorités pour la conduite de l’agenda 2024. Dans cette dynamique, des problématiques d’intérêt portées par le secteur privé ont meublé les échanges.
Jean François Vanié, Secrétaire général de Préfecture, représentant Tuo Fozié, Préfet de la région de Gbêkê, Préfet du département de Bouaké, par ailleurs président du Clcesp, a indiqué que cette initiative a eu un double objectif. A savoir, parvenir d’une part, à une compréhension commune des réformes et des politiques sectorielles, et d’autre part, à une appropriation mutuelle des attentes de chacune des parties », a-t-il indiqué.
Pour l’autorité préfectorale, ces objectifs croisent l’ambition du gouvernement que partagent, du reste, les autorités administratives et locales qui est de créer les conditions les plus favorables pour la relance et le bon déroulement de l’activité économique dans la région de Gbêkê. « Nous saluons cette initiative qui permet d’évacuer de nombreux problèmes liés aux insuffisances d’informations sur les activités des directions régionales et les capacités à faciliter la prise en charge des préoccupations du secteur privé », s’est-il satisfait.
Pour Mariam Fadiga Fofana, Secrétaire exécutive du Comité de concertation Etat-secteur privé, ces problèmes ont pour source majeure la compréhension du fonctionnement de la fiscalité. D’où la nécessité, pour elle, de poursuivre les séances d’information et de sensibilisation dans le cadre du dialogue public-privé ».
Notons que les entités ayant pris part à cette rencontre sont les représentants de cabinets ministériels et de direction générale de l’administration, les collectivités locales, les opérateurs économiques, les jeunes et femmes entrepreneurs, sans oublier les partenaires techniques et financiers.
CORRESPONDANT REGIONAL
Il s’est agi durant les cinq jours, pour les participants de faire le point des travaux du comité local de concertation en vue d’apprécier les acquis enregistrés, d’identifier les questions pendantes et de définir les priorités pour la conduite de l’agenda 2024. Dans cette dynamique, des problématiques d’intérêt portées par le secteur privé ont meublé les échanges.
Jean François Vanié, Secrétaire général de Préfecture, représentant Tuo Fozié, Préfet de la région de Gbêkê, Préfet du département de Bouaké, par ailleurs président du Clcesp, a indiqué que cette initiative a eu un double objectif. A savoir, parvenir d’une part, à une compréhension commune des réformes et des politiques sectorielles, et d’autre part, à une appropriation mutuelle des attentes de chacune des parties », a-t-il indiqué.
Pour l’autorité préfectorale, ces objectifs croisent l’ambition du gouvernement que partagent, du reste, les autorités administratives et locales qui est de créer les conditions les plus favorables pour la relance et le bon déroulement de l’activité économique dans la région de Gbêkê. « Nous saluons cette initiative qui permet d’évacuer de nombreux problèmes liés aux insuffisances d’informations sur les activités des directions régionales et les capacités à faciliter la prise en charge des préoccupations du secteur privé », s’est-il satisfait.
Pour Mariam Fadiga Fofana, Secrétaire exécutive du Comité de concertation Etat-secteur privé, ces problèmes ont pour source majeure la compréhension du fonctionnement de la fiscalité. D’où la nécessité, pour elle, de poursuivre les séances d’information et de sensibilisation dans le cadre du dialogue public-privé ».
Notons que les entités ayant pris part à cette rencontre sont les représentants de cabinets ministériels et de direction générale de l’administration, les collectivités locales, les opérateurs économiques, les jeunes et femmes entrepreneurs, sans oublier les partenaires techniques et financiers.
CORRESPONDANT REGIONAL