Diabète l’Adsci exhorte les malades à la pratique régulière du sport

L'Association diabète sport Côte d’Ivoire invite les malades à pratiquer le sport. (DR)
L'Association diabète sport Côte d’Ivoire invite les malades à pratiquer le sport. (DR)
L'Association diabète sport Côte d’Ivoire invite les malades à pratiquer le sport. (DR)

Diabète l’Adsci exhorte les malades à la pratique régulière du sport

Le 28/11/19 à 14:39
modifié 29/11/19 à 12:05
Un peu plus d’une centaine de membres et sympathisants de l’Association diabète sport Côte d’Ivoire (Adsci) ont pris part, jeudi, dans l’enceinte de l’Institut national de santé publique (Insp), à Adjamé, à une activité organisée dans le cadre de Journée mondiale de lutte contre le diabète, célébrée le 15 novembre de chaque année.
L’initiative, au dire de Raymond Tabi Tra, président de l’Adsci, épouse l’esprit de la création de l’Association diabète sport Côte d’Ivoire, qui est de combattre et de juguler la manifestation de la maladie chez les porteurs. « Le sport fait partie des bonnes pratiques conseillées aux diabétiques pour garder la forme et vivre sainement avec la maladie.

« Nous organisons ce type d’activité pour inviter les Ivoiriens et les personnes qui souffrent du même mal que nous à nous rejoindre et à se mettre au sport », a expliqué Raymond Tabi Tra.

Le crédo de l’Adsci, selon lui, est de combattre le diabète par une pratique saine et régulière d’activités sportives. « Le sport a une incidence sur la régulation du taux de sucre dans l’organisme. Il nous permet de retrouver la mobilité pour certains. Il nous donne une seconde jeunesse, un nouveau souffle », indique-t-il.

Toujours de l’avis du président de l’Adsci, le sport permet de déstresser. « La pratique en groupe de notre activité nous aide à retrouver le moral et à se sentir bien dans notre corps », relève-t-il. Pour adhérer à l’Adsci, poursuit-il, « il faut être diabétique, hypertendu ou hypotendu, satisfaire aux conditions pour être membre ».

Raymond Tabi Tra souligne que chaque membre de l’Adsci est détenteur d’un badge identifiant. « On peut piquer une crise hors de son domicile. Avec le badge, les secours et les personnels de santé sauront notre état. Ils prendront donc des dispositions lors de notre prise en charge », note-t-il.


Le 28/11/19 à 14:39
modifié 29/11/19 à 12:05