Leflo, une étoile est née
Likpi. Entendez roi, en langue avikam. C’est par ce titre que Florent Gnazalé alias Leflo entame sa prestation cette nuit du 23 novembre au Bao Café, à Cocody cité des Arts.
Le ton est solennel, la voix en impose tout de suite, la gestuelle digne des grandes scènes musicales ; tout était royalement fait sur une scène à sa merci. De l’aigu au grave, il ne cille pas. Bien au contraire. Ses doigts tantôt courent sur les six cordes de sa guitare, tantôt ralentissent pour donner une certaine langueur aux notes.
Les genres musicaux africains, européens ou américains parcourus avec une aisance qui en dit long sur la maîtrise de son sujet. Le tout assorti d’un sourire naturellement contagieux. Bref, la prégnance de sa voix laisse savourer son talent encore à l’état pur. C’est donc naturellement que le public du Bao Café se laisse aller sur les vagues envoûtantes de la voix de Leflo.
Les uns reprenant certains grands classiques en chœur avec l’artiste, quand sur d’autres morceaux les invités se muaient en choristes. L’ambiance était des plus conviviales, empreinte de gaité avec des noceurs qui se sont crus un instant dans une cour de récréation. C’était le samedi, lors d’un show-case.
Leflo est tout simplement séduisant. Il se produisait sur invitation de Leliai event, structure évènementielle qui, « déniche » et promeut les talents cachés. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette structure dirigée par Shayden, Cherylle Guèye de son vrai nom, a mis la main sur une pépite. Le secret de Leflo, le mariage d’avec son art. « La musique est très jalouse. Vous ne pouvez pas la combiner avec un autre job. Ou bien vous l’épousez totalement, ou elle vous lâche », souligne-t-il.
Lui, le diplômé en droit, option droit des affaires, ne la lâche pas. Ceci explique donc cela. On comprend dès lors l’immense talent que sollicitent tous les coins chauds d’Abidjan. Après sa prestation à la cité des Arts, celui qui va fêter ses trente ans en janvier 2020 saute dans un taxi pour un autre temps du live.
Les genres musicaux africains, européens ou américains parcourus avec une aisance qui en dit long sur la maîtrise de son sujet. Le tout assorti d’un sourire naturellement contagieux. Bref, la prégnance de sa voix laisse savourer son talent encore à l’état pur. C’est donc naturellement que le public du Bao Café se laisse aller sur les vagues envoûtantes de la voix de Leflo.
Les uns reprenant certains grands classiques en chœur avec l’artiste, quand sur d’autres morceaux les invités se muaient en choristes. L’ambiance était des plus conviviales, empreinte de gaité avec des noceurs qui se sont crus un instant dans une cour de récréation. C’était le samedi, lors d’un show-case.
Leflo est tout simplement séduisant. Il se produisait sur invitation de Leliai event, structure évènementielle qui, « déniche » et promeut les talents cachés. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que cette structure dirigée par Shayden, Cherylle Guèye de son vrai nom, a mis la main sur une pépite. Le secret de Leflo, le mariage d’avec son art. « La musique est très jalouse. Vous ne pouvez pas la combiner avec un autre job. Ou bien vous l’épousez totalement, ou elle vous lâche », souligne-t-il.
Lui, le diplômé en droit, option droit des affaires, ne la lâche pas. Ceci explique donc cela. On comprend dès lors l’immense talent que sollicitent tous les coins chauds d’Abidjan. Après sa prestation à la cité des Arts, celui qui va fêter ses trente ans en janvier 2020 saute dans un taxi pour un autre temps du live.