Remous à l'abattoir de Port-Bouet: La faîtière dément toute implication et appelle au calme
Les responsables des fédérations et autres organisations de la filière bétail-viande étaient tous réunis, hier, au siège de la Confédération des fédérations nationales de la filière bétail et viande de l’Afrique de l’Ouest (Cofenabvi-Ao), à Cocody-Lycée technique, pour une conférence. Objet : les remous observés depuis quelques jours à l’abattoir de Port-Bouët.
« Nous ne sommes impliqués ni de près ni de loin dans tout ce qui s’est passé à l’abattoir. Ces remous ont été orchestrés par des individus se réclamant de la corporation de bouchers chevillards. En vérité, nous ne les connaissons pas. Mieux, nous ne saurions accepter que des individus viennent nous perturber dans notre travail. Nous appelons l’ensemble des acteurs à la vigilance et à la patience, car l’État prête une oreille attentive à notre préoccupation. Fidèles à notre volonté de soutenir les acteurs de la filière, nous demandons à tous de la modération », a déclaré le président de la Cofenabvi-Ao, Issaka Sawadogo.
En effet, comme il l’a expliqué, le 19 novembre et le 2 décembre, des bouchers conduits par certains individus se disant responsables syndicaux ont invité leurs pairs à abattre leurs bovins dans les abattoirs de Yopougon et d’Abobo, pourtant fermés depuis cinq mois pour assainissement et rénovation. Une attitude illégale, clandestine et constituant un danger pour la santé publique qui a amené les autorités du district à saisir les bovins tués et prêts à l’être dans les abattoirs de Yopougon et d’Abobo.
C’est donc pour manifester leur mécontentement que les auteurs de ce forfait ont tenté d’assiéger l’abattoir de Port-Bouët. « C’est le lieu de rappeler que la faîtière, la Fenacci, la Fenacofbvi-Ci et les chevillards ont obtenu un accord avec le district d’Abidjan pour faciliter le travail au sein de l’abattoir.
Mieux, la Fenacci a adressé un courrier au Premier ministre en vue de faire le bilan à mi-parcours et souhaiter que des dispositions soient prises pour l’ouverture des abattoirs de Yopougon et d’Abobo », a rassuré Issaka Sawadogo. Valérie Boua, représentant le district à la conférence de presse, a salué l’initiative de la faîtière et rassuré les uns et les autres quant aux mesures prises pour l’ouverture des abattoirs de Yopougon et d’Abobo
En effet, comme il l’a expliqué, le 19 novembre et le 2 décembre, des bouchers conduits par certains individus se disant responsables syndicaux ont invité leurs pairs à abattre leurs bovins dans les abattoirs de Yopougon et d’Abobo, pourtant fermés depuis cinq mois pour assainissement et rénovation. Une attitude illégale, clandestine et constituant un danger pour la santé publique qui a amené les autorités du district à saisir les bovins tués et prêts à l’être dans les abattoirs de Yopougon et d’Abobo.
C’est donc pour manifester leur mécontentement que les auteurs de ce forfait ont tenté d’assiéger l’abattoir de Port-Bouët. « C’est le lieu de rappeler que la faîtière, la Fenacci, la Fenacofbvi-Ci et les chevillards ont obtenu un accord avec le district d’Abidjan pour faciliter le travail au sein de l’abattoir.
Mieux, la Fenacci a adressé un courrier au Premier ministre en vue de faire le bilan à mi-parcours et souhaiter que des dispositions soient prises pour l’ouverture des abattoirs de Yopougon et d’Abobo », a rassuré Issaka Sawadogo. Valérie Boua, représentant le district à la conférence de presse, a salué l’initiative de la faîtière et rassuré les uns et les autres quant aux mesures prises pour l’ouverture des abattoirs de Yopougon et d’Abobo