Samy François Gaiji, le représentant de la Fao en Côte d’Ivoire. (DR)
Sara 2019 : La Fao réaffirme son soutien à la Côte d’Ivoire
La structure onusienne entretient depuis 33 ans, de bonnes relations avec les autorités d’Abidjan.
L’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (Fao) a jugé, le 1er décembre, sa participation « satisfaisante » au 5e Salon international de l’agriculture et des ressources animales d’Abidjan (Sara) qui a pris fin le même jour.
Samy François Gaiji, son représentant en Côte d’Ivoire, se confiant à la presse, a réaffirmé à la clôture, « l’engagement » et la « solidarité » de la Fao aux côtés de la Côte d’Ivoire. « Nous avons répondu aux priorités du pays, et nous allons continuer à le faire. Nous sommes très proches des différents ministères sur les priorités futures de la Côte d’Ivoire », a fait remarquer le représentant.
Pourquoi avoir participé au Sara ? A cette question, Samy François Gaiji explique que c’est une opportunité de présenter et valoriser les projets/innovations ainsi que les résultats obtenus à court, moyen et long termes, de rechercher/renforcer les partenariats nationaux, sous-régionaux et internationaux, en faveur d’une agriculture résiliente au changement climatique. Il explique également que le Sara a été une occasion pour sa structure de présenter les bénéficiaires de certains projets, donner la vision de la Fao et faire le point de son appui à l’Etat de Côte d’Ivoire au cours de journées thématiques.
Le Sara a été l’occasion pour la Fao et la Côte d’Ivoire de signer un accord de projet portant sur la professionnalisation des jeunes et la promotion de l’emploi agricole. A travers ce projet, la Fao souhaite accroître l’employabilité des diplômés d’une part et d’autre part, remettre à environ 50 jeunes formés, un kit d’insertion de 5 000 dollars Us, soit 2,9 millions de FCfa.
Au Sara, la Fao (plus de 33 ans de coopération avec Abidjan) a présenté le projet Initiative pêche côtière (Ipc). Elle a apporté un appui financier estimé à 4 millions de FCfa au ministère des Eaux et Forêts pour l’organisation de la Journée focus sur les forêts. Au niveau des ressources animales et halieutiques, la Fao a fait un focus sur l’aquaculture qui reste l’alternative pour les populations ivoiriennes afin de réduire le niveau d’importation du poisson qui est de 80%.
A ce titre, dans le cadre du projet Autonomisation des personnes vulnérables d’un budget de 1.05 millions US (625,1 millions de FCfa), un accent sera mis sur la relance de plusieurs fermes piscicoles et la station d’alevinage de Dompleu (Man).
Pourquoi avoir participé au Sara ? A cette question, Samy François Gaiji explique que c’est une opportunité de présenter et valoriser les projets/innovations ainsi que les résultats obtenus à court, moyen et long termes, de rechercher/renforcer les partenariats nationaux, sous-régionaux et internationaux, en faveur d’une agriculture résiliente au changement climatique. Il explique également que le Sara a été une occasion pour sa structure de présenter les bénéficiaires de certains projets, donner la vision de la Fao et faire le point de son appui à l’Etat de Côte d’Ivoire au cours de journées thématiques.
Le Sara a été l’occasion pour la Fao et la Côte d’Ivoire de signer un accord de projet portant sur la professionnalisation des jeunes et la promotion de l’emploi agricole. A travers ce projet, la Fao souhaite accroître l’employabilité des diplômés d’une part et d’autre part, remettre à environ 50 jeunes formés, un kit d’insertion de 5 000 dollars Us, soit 2,9 millions de FCfa.
Au Sara, la Fao (plus de 33 ans de coopération avec Abidjan) a présenté le projet Initiative pêche côtière (Ipc). Elle a apporté un appui financier estimé à 4 millions de FCfa au ministère des Eaux et Forêts pour l’organisation de la Journée focus sur les forêts. Au niveau des ressources animales et halieutiques, la Fao a fait un focus sur l’aquaculture qui reste l’alternative pour les populations ivoiriennes afin de réduire le niveau d’importation du poisson qui est de 80%.
A ce titre, dans le cadre du projet Autonomisation des personnes vulnérables d’un budget de 1.05 millions US (625,1 millions de FCfa), un accent sera mis sur la relance de plusieurs fermes piscicoles et la station d’alevinage de Dompleu (Man).