Hydraulique : Les acteurs préparent un avant-projet de loi pour une meilleure gestion de l’Eau
Un atelier de deux jours se tient à cet effet, depuis ce lundi, à l’immeuble Crrae-Umoa, au Plateau.
Les acteurs nationaux, intervenant dans la protection et la production de l’Eau potable, prennent part, depuis ce lundi 16 décembre, à un atelier de réflexions, à l’immeuble Crrae-Umoa, au Plateau.
Initiée par le ministère de l’Hydraulique, à travers sa sous-direction des affaires juridiques, cette rencontre a pour objectif d’offrir aux acteurs de la gestion de l’eau potable en Côte d’Ivoire, un cadre de réflexions visant à s’approprier l’avant-projet de loi (code) devant régir désormais les actions du ministère. Prévu sur deux jours (les 16 et 17 décembre), cet atelier réunit 45 participants issus, entre autres, du cabinet du ministère de l’Hydraulique, des directions et services rattachés audit ministère, des directions régionales du ministère, du ministère des Eaux et Forêts, du ministère de l’Assainissement et de la Salubrité, du ministère de l’Environnement et du Développement durable, de l’Onep, de la Sodeci, d’Ong et d’associations de consommateurs.
A la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Hydraulique, Laurent Tchagba, était représenté par son directeur de cabinet, Lucien Tchimou. Celui-ci a indiqué que de façon spécifique, cette rencontre a pour but de permettre aux participants de passer en revue l’avant-projet de loi portant code de l’eau potable; discuter la pertinence actuelle, à moyen et long termes de l’avant-projet de loi; recueillir les observations et propositions techniques et opérationnelles de l’ensemble des acteurs du ministère de l’Hydraulique et intégrer les nouvelles approches pertinentes ainsi que les observations et suggestions s’y rapportant.
Selon lui, les textes qui règlementent la gestion de l’eau potable en milieu urbain comme rural sont insuffisants et limités, du fait de difficultés d’application en rapport avec l’évolution rapide des besoins des populations et des comportements délictueux nouveaux.
« Au regard des enjeux opérationnels, techniques, économiques et juridiques importants qu’implique la mise en œuvre de cette nouvelle vision, il apparaît impérieux de mettre sur pied un nouveau cadre ambitieux de textes. Lesquels devront être adaptés aux réalités de l’entreprise concessionnaire du service de distribution du réseau public d’eau potable et d’autres opérateurs éventuels, aux besoins et aux comportements des populations ainsi qu’aux engagements de l’Etat », a-t-il poursuivi.
Pour sa part, le sous-directeur des affaires juridiques, Naman Gueu Patrice, a noté qu’il s’agit, au cours de cet atelier, de recueillir les avis à l’effet d’avoir une vue presque consensuelle de la réglementation du secteur de l’eau potable.
« Pour le code de l’eau potable en préparation, Monsieur le ministre de l’Hydraulique a instruit la direction chargée des affaires juridiques à l’effet que celui-ci soit le plus proche possible d’un code qui fait déjà référence en Côte d’Ivoire ».
A la cérémonie d’ouverture, le ministre de l’Hydraulique, Laurent Tchagba, était représenté par son directeur de cabinet, Lucien Tchimou. Celui-ci a indiqué que de façon spécifique, cette rencontre a pour but de permettre aux participants de passer en revue l’avant-projet de loi portant code de l’eau potable; discuter la pertinence actuelle, à moyen et long termes de l’avant-projet de loi; recueillir les observations et propositions techniques et opérationnelles de l’ensemble des acteurs du ministère de l’Hydraulique et intégrer les nouvelles approches pertinentes ainsi que les observations et suggestions s’y rapportant.
Selon lui, les textes qui règlementent la gestion de l’eau potable en milieu urbain comme rural sont insuffisants et limités, du fait de difficultés d’application en rapport avec l’évolution rapide des besoins des populations et des comportements délictueux nouveaux.
« Au regard des enjeux opérationnels, techniques, économiques et juridiques importants qu’implique la mise en œuvre de cette nouvelle vision, il apparaît impérieux de mettre sur pied un nouveau cadre ambitieux de textes. Lesquels devront être adaptés aux réalités de l’entreprise concessionnaire du service de distribution du réseau public d’eau potable et d’autres opérateurs éventuels, aux besoins et aux comportements des populations ainsi qu’aux engagements de l’Etat », a-t-il poursuivi.
Pour sa part, le sous-directeur des affaires juridiques, Naman Gueu Patrice, a noté qu’il s’agit, au cours de cet atelier, de recueillir les avis à l’effet d’avoir une vue presque consensuelle de la réglementation du secteur de l’eau potable.
« Pour le code de l’eau potable en préparation, Monsieur le ministre de l’Hydraulique a instruit la direction chargée des affaires juridiques à l’effet que celui-ci soit le plus proche possible d’un code qui fait déjà référence en Côte d’Ivoire ».