Visite d'Etat de Macron en Côte d’Ivoire : Bouaké prépare un accueil chaleureux pour son hôte
Le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation, Sidiki Diakité, a présidé une réunion sur le sujet le mardi, à l’hôtel du District, au Plateau.
Le bref séjour d’une journée, que le Président français, Emmanuel Macron, effectuera à Bouaké, le 22 décembre, à l’occasion de sa visite d’Etat en Côte d’Ivoire, était au centre d’une réunion tenue le mardi 17 décembre, à l’hôtel du District, au Plateau.
Initiée et présidée par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, Sidiki Diakité, la rencontre a également enregistré la présence de plusieurs élus et cadres de la région de Gbêkê. Au nombre desquels les ministres Sidi Touré, Jean Claude Kouassi et Amadou Koné, les préfets des quatre départements de la région (Bouaké, Botro, Béoumi et Sakassou), le maire Nicolas Djibo, les doyens Fanny Ibrahim et Yoboué Lazare. Tous ont exprimé leur joie de recevoir sur leur terre, le Président français. Et de surcroit, dans le cadre d’une visite d’Etat. Ils ont par ailleurs pris l’engagement de se mobiliser pour la réussite de l’événement.
« Pour nous, si le Président français a décidé de se rendre à Bouaké, c’est la preuve que son cœur y est. Car les pieds ne vont pas là où le cœur n’est pas », a souligné le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation.
Pour Sidiki Diakité, cette visite doit pouvoir permettre à Bouaké de reprendre son envol et retrouver son lustre d’antan. « C’est pourquoi nous vous demandons de vous mobiliser de façon exceptionnelle pour dire Akwaba au Président Macron. C’est une visite totalement républicaine, une visite d’Etat. Elle n’a aucune coloration politique ni religieuse ni ethnique. Nous demandons par conséquent, à chacun de s’impliquer personnellement, pour sa réussite », a-t-il insisté. Il a aussi noté que cette visite sera marquée par deux évènements majeurs. A savoir, la visite du lycée Descartes abritant les forces françaises à Bouaké, qui sera suivie d’une brève cérémonie d’hommage aux soldats français tombés dans cet établissement le 6 novembre 2004, et la pose de la première pierre du futur grand marché de Bouaké.
Abondant dans le même sens, le ministre des Transports, Amadou Koné, a particulièrement salué le projet de construction du grand marché de Bouaké. « La construction de ce marché permettra à Bouaké de se relancer. Elle mettra certainement fin au désordre qui s’est installé depuis quelques années, du fait des petits marchés qui poussent à tous les coins de rue », a-t-il espéré. Avant d’appeler les cadres et les populations de Bouaké à tout mettre en œuvre pour réserver un accueil chaleureux à l’hôte de marque.
Pour sa part, le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi, a indiqué que les populations de Bouaké sont impatientes d’accueillir le Président français.
Le ministre Sidi Tiémoko Touré n’a pas dit autre chose. Il a affirmé que cette visite d’Etat est une chance pour Bouaké. « La visite d’Etat, c’est le summum d’une visite de Chef d’Etat, dans un pays. Généralement, c’est la capitale du pays qui accueille ce genre de visite d’Etat. C’est donc une chance pour nous d’accueillir le Président français à Bouaké », a-t-il insisté. Avant d’exprimer sa reconnaissance au Président de la République Alassane Ouattara et au Premier ministre Amadou Gon pour avoir œuvré pour la réussite de cette visite.
« Pour nous, si le Président français a décidé de se rendre à Bouaké, c’est la preuve que son cœur y est. Car les pieds ne vont pas là où le cœur n’est pas », a souligné le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation.
Pour Sidiki Diakité, cette visite doit pouvoir permettre à Bouaké de reprendre son envol et retrouver son lustre d’antan. « C’est pourquoi nous vous demandons de vous mobiliser de façon exceptionnelle pour dire Akwaba au Président Macron. C’est une visite totalement républicaine, une visite d’Etat. Elle n’a aucune coloration politique ni religieuse ni ethnique. Nous demandons par conséquent, à chacun de s’impliquer personnellement, pour sa réussite », a-t-il insisté. Il a aussi noté que cette visite sera marquée par deux évènements majeurs. A savoir, la visite du lycée Descartes abritant les forces françaises à Bouaké, qui sera suivie d’une brève cérémonie d’hommage aux soldats français tombés dans cet établissement le 6 novembre 2004, et la pose de la première pierre du futur grand marché de Bouaké.
Abondant dans le même sens, le ministre des Transports, Amadou Koné, a particulièrement salué le projet de construction du grand marché de Bouaké. « La construction de ce marché permettra à Bouaké de se relancer. Elle mettra certainement fin au désordre qui s’est installé depuis quelques années, du fait des petits marchés qui poussent à tous les coins de rue », a-t-il espéré. Avant d’appeler les cadres et les populations de Bouaké à tout mettre en œuvre pour réserver un accueil chaleureux à l’hôte de marque.
Pour sa part, le ministre des Mines et de la Géologie, Jean-Claude Kouassi, a indiqué que les populations de Bouaké sont impatientes d’accueillir le Président français.
Le ministre Sidi Tiémoko Touré n’a pas dit autre chose. Il a affirmé que cette visite d’Etat est une chance pour Bouaké. « La visite d’Etat, c’est le summum d’une visite de Chef d’Etat, dans un pays. Généralement, c’est la capitale du pays qui accueille ce genre de visite d’Etat. C’est donc une chance pour nous d’accueillir le Président français à Bouaké », a-t-il insisté. Avant d’exprimer sa reconnaissance au Président de la République Alassane Ouattara et au Premier ministre Amadou Gon pour avoir œuvré pour la réussite de cette visite.