Média : 95 personnalités distinguées par l’État de Côte d’Ivoire
Le ministre Sidi Touré a présidé la cérémonie qui a rassemblé la grande famille du secteur pour une belle célébration de l’excellence.
L’ordre du mérite de la communication a été institué par décret N° 2015-347 du 13 mai 2015. Il se veut un ordre sectoriel dans un domaine professionnel dynamique et innovant, ouvert aux femmes, aux hommes et aux jeunes qui œuvrent dans l’excellence à la valorisation de leur métier.
La première édition de ce rendez-vous annuel de célébration des meilleurs professionnels et personnalités connus ou moins connus, du secteur de la communication et des médias a eu lieu le 17 décembre à l’espace Latrille Events, à Cocody les II Plateaux.
A cette occasion, 95 personnalités ont été distinguées par l’État de Côte d’Ivoire. Sept ont été élevées au grade de Commandeur dans l’Ordre du mérite de la communication, 23 au grade d’Officier et enfin 65 au grade de Chevalier. Ainsi, les ministres Hamed Bakayoko, Bruno Koné Nabagné, Ally Coulibaly, Auguste Miremont, Martine Coffi-Studer, Lévy Niamkey, des personnalités telles que Clémentine Tikida, Tantie Léo, Samba Koné, Kébé Yacouba, Yao Noël, Marie Catherine Koissy, Brou Aka Pascal et bien d’autres ont reçu la reconnaissance de la nation pour leur mérite.
« Cette cérémonie s’inscrit dans la droite ligne de la politique de célébration de l’excellence que le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara, met en œuvre depuis son avènement à la tête de l’État. Pour lui, il faut récompenser les meilleurs d’entre nous dans nos domaines d’activité respectifs. Par la symbolique de ces décorations, nous poursuivons l’objectif d’entretenir les grandes valeurs d’honnêteté, de probité et de travail », a situé d’entrée Sidi Touré, ministre de la Communication et des Médias, par ailleurs président du Conseil de l’Ordre.
Selon lui, les récipiendaires sont à l’image de la société ivoirienne : diverse, ingénieuse, laborieuse et entreprenante. « En regardant vos parcours respectifs, j’y vois l’histoire de la Côte d’Ivoire de ces dernières décennies, incarnée par le combat pour la liberté de la presse et son indépendance. J’y vois également des transformations positives du secteur de communication, de la formation jusqu’au développement des nouveaux médias », a ajouté le ministre Sidi Touré. C’est donc tout naturellement qu’il a exprimé sa fierté de se plier au devoir de la reconnaissance de la nation pour leur dévouement et le dynamisme acharné que chacun a su imprimer tout au long de sa carrière.
« La Côte d’Ivoire, à travers le ministère de la Communication et des Médias, reconnaît vos mérites distingués. Elle honore plus particulièrement vos actions en faveur du développement plus harmonieux de notre noble secteur et votre volonté inaltérable de transmettre aux générations futures des valeurs humanistes et républicaines qui constituent le ciment de la nation ivoirienne », a-t-il lancé à leur endroit.
Hommage mérité aux professionnels de la correction
Pour cette première édition de la célébration dans l’ordre du mérite de la communication, les correcteurs et journalistes-correcteurs ont été à l’honneur pour rappeler à la corporation qu’elle n’a pas le droit « de maintenir dans l’ombre, ces femmes et ces hommes qui mettent nos écrits dans la lumière de la beauté et de l’esthétique du bien dire et du bien écrire. Corriger, c’est reprendre, remanier, revoir ; c’est donc améliorer. Le correcteur veille également à la construction des phrases et au respect des codes typographiques. A l’heure de l’Internet et de la simplification de l’écriture, il apparaît plus que nécessaire de valoriser ce métier qui nous rappelle les fondamentaux de l’écriture », a indiqué le ministre Sidi Touré.
Cet hommage n’a pas laissé insensible Firmin N’Dri Bonfils, le président de l’Union nationale des professionnels de la correction de Côte d’Ivoire (Unpc-ci).
Portant la voix de ses paires, il s’est dit honoré de cette mise en lumière d’un métier peu connu du grand public. « Monsieur le ministre, comment ne pas saluer la profondeur de votre vision ? Mes mots ne sacrifient pas à la traditionnelle culture de l’atalaku, ils sont vrais, purs, sincères et profonds. La preuve, les correcteurs et journalistes-correcteurs de Côte d’Ivoire, à travers ma modeste personne, sont aujourd’hui mis en lumière par votre volonté. Là où l’essence même de notre métier veut que nous restions toujours dans l’ombre », s’est-il exprimé non sans avoir décliné l’importance de ce métier qui nécessite un certain nombre de vertus dont une bonne formation de base, une exigence de culture générale plus que solide et un esprit critique développé et largement au-dessus de la moyenne.
Fraternité Matin puissance 3
A cette occasion, 95 personnalités ont été distinguées par l’État de Côte d’Ivoire. Sept ont été élevées au grade de Commandeur dans l’Ordre du mérite de la communication, 23 au grade d’Officier et enfin 65 au grade de Chevalier. Ainsi, les ministres Hamed Bakayoko, Bruno Koné Nabagné, Ally Coulibaly, Auguste Miremont, Martine Coffi-Studer, Lévy Niamkey, des personnalités telles que Clémentine Tikida, Tantie Léo, Samba Koné, Kébé Yacouba, Yao Noël, Marie Catherine Koissy, Brou Aka Pascal et bien d’autres ont reçu la reconnaissance de la nation pour leur mérite.
« Cette cérémonie s’inscrit dans la droite ligne de la politique de célébration de l’excellence que le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara, met en œuvre depuis son avènement à la tête de l’État. Pour lui, il faut récompenser les meilleurs d’entre nous dans nos domaines d’activité respectifs. Par la symbolique de ces décorations, nous poursuivons l’objectif d’entretenir les grandes valeurs d’honnêteté, de probité et de travail », a situé d’entrée Sidi Touré, ministre de la Communication et des Médias, par ailleurs président du Conseil de l’Ordre.
Selon lui, les récipiendaires sont à l’image de la société ivoirienne : diverse, ingénieuse, laborieuse et entreprenante. « En regardant vos parcours respectifs, j’y vois l’histoire de la Côte d’Ivoire de ces dernières décennies, incarnée par le combat pour la liberté de la presse et son indépendance. J’y vois également des transformations positives du secteur de communication, de la formation jusqu’au développement des nouveaux médias », a ajouté le ministre Sidi Touré. C’est donc tout naturellement qu’il a exprimé sa fierté de se plier au devoir de la reconnaissance de la nation pour leur dévouement et le dynamisme acharné que chacun a su imprimer tout au long de sa carrière.
« La Côte d’Ivoire, à travers le ministère de la Communication et des Médias, reconnaît vos mérites distingués. Elle honore plus particulièrement vos actions en faveur du développement plus harmonieux de notre noble secteur et votre volonté inaltérable de transmettre aux générations futures des valeurs humanistes et républicaines qui constituent le ciment de la nation ivoirienne », a-t-il lancé à leur endroit.
Hommage mérité aux professionnels de la correction
Pour cette première édition de la célébration dans l’ordre du mérite de la communication, les correcteurs et journalistes-correcteurs ont été à l’honneur pour rappeler à la corporation qu’elle n’a pas le droit « de maintenir dans l’ombre, ces femmes et ces hommes qui mettent nos écrits dans la lumière de la beauté et de l’esthétique du bien dire et du bien écrire. Corriger, c’est reprendre, remanier, revoir ; c’est donc améliorer. Le correcteur veille également à la construction des phrases et au respect des codes typographiques. A l’heure de l’Internet et de la simplification de l’écriture, il apparaît plus que nécessaire de valoriser ce métier qui nous rappelle les fondamentaux de l’écriture », a indiqué le ministre Sidi Touré.
Cet hommage n’a pas laissé insensible Firmin N’Dri Bonfils, le président de l’Union nationale des professionnels de la correction de Côte d’Ivoire (Unpc-ci).
Portant la voix de ses paires, il s’est dit honoré de cette mise en lumière d’un métier peu connu du grand public. « Monsieur le ministre, comment ne pas saluer la profondeur de votre vision ? Mes mots ne sacrifient pas à la traditionnelle culture de l’atalaku, ils sont vrais, purs, sincères et profonds. La preuve, les correcteurs et journalistes-correcteurs de Côte d’Ivoire, à travers ma modeste personne, sont aujourd’hui mis en lumière par votre volonté. Là où l’essence même de notre métier veut que nous restions toujours dans l’ombre », s’est-il exprimé non sans avoir décliné l’importance de ce métier qui nécessite un certain nombre de vertus dont une bonne formation de base, une exigence de culture générale plus que solide et un esprit critique développé et largement au-dessus de la moyenne.
Fraternité Matin puissance 3
Dans la mouvance de la célébration des 55 ans d’existence, le premier quotidien de Côte d’Ivoire a été honoré à travers la décoration de trois personnalités du groupe de presse de référence en Afrique de l’Ouest. Venance Konan, directeur général de Fraternité Matin et Michel Koffi, grand reporter ont été élevés au grade d’Officier dans l’ordre du mérite de la communication. Et Daoda Coulibaly, chef du service correction, a, lui, été élevé au grade de Chevalier. Tous ont exprimé leur gratitude au ministre de la Communication et des Médias pour cette reconnaissance nationale.