Affaires maritimes : Les syndicats rejettent le nouveau cadre organique de leur administration
Des responsables de la Plateforme nationale des syndicats des affaires maritimes et portuaires ont animé, le lundi 6 janvier 2020, à Abidjan, un point de presse, pour rejeter le nouveau cadre organique de leur administration dont le principe a été adopté le 18 décembre 2019, en conseil des ministres, à Yamoussoukro.
Selon le porte-parole, le Lieutenant-colonel François Bio, les investigations menées à leur niveau, en tant que Officiers de police judiciaires (OPJ), ont révélé que le nouvel organigramme en vue n’est pas conforme à celui contenu dans la loi du 13 janvier 2016, portant programmation des forces de sécurité intérieure pour la période 2016-2020.
Cette loi, dont les 1500 agents de la direction générale des affaires maritimes et portuaires (DGAMP) attendaient l’application, a souligné le conférencier, prévoyait deux directions générales adjointes, deux régions maritimes, huit départements maritimes et une inspection générale.
Or la dernière mouture, proposée par le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Transports chargé des Affaires maritimes, Philippe Légré, et validé par le gouvernement, selon les responsables syndicaux, se résume en une direction générale et quatre directions centrales.
« Ce qui constitue une violation flagrante des dispositions de la loi de 2016 », a martelé le Lieutenant-Colonel Bio, qui demande le respect strict de cette loi, le retour à l’organigramme qui y est contenu et une collaboration étroite entre le Secrétariat d’Etat et le ministère des Transports « pour une relance véritable des affaires maritimes et portuaires ».
La Plateforme nationale des syndicats de la corporation a salué le Président Ouattara qui, depuis son accession à la magistrature suprême, a permis au secteur maritime et portuaire, de connaître de nombreuses avancées.
Entre autres le retour des ports sous la même tutelle que l’administration maritime, l’érection des affaires maritimes et portuaires comme une force de sécurité intérieure, l’organisation des états généraux de la mer en 2011, l’adoption d’un nouveau code maritime.
Etaient présents à ce point de presse, les responsables du Syndicat national des affaires maritimes (SYNAFMAR), la Coordination des agents des affaires maritimes et portuaires (CAAMP), le Collectif des agents des affaires maritimes et portuaires (CAAMP), le Renouveau syndical des agents des affaires maritimes et portuaires (RESAAMP) et l’Union générale des agents des affaires maritimes et portuaires (UGAMP).
Cette loi, dont les 1500 agents de la direction générale des affaires maritimes et portuaires (DGAMP) attendaient l’application, a souligné le conférencier, prévoyait deux directions générales adjointes, deux régions maritimes, huit départements maritimes et une inspection générale.
Or la dernière mouture, proposée par le secrétaire d’Etat auprès du ministre des Transports chargé des Affaires maritimes, Philippe Légré, et validé par le gouvernement, selon les responsables syndicaux, se résume en une direction générale et quatre directions centrales.
« Ce qui constitue une violation flagrante des dispositions de la loi de 2016 », a martelé le Lieutenant-Colonel Bio, qui demande le respect strict de cette loi, le retour à l’organigramme qui y est contenu et une collaboration étroite entre le Secrétariat d’Etat et le ministère des Transports « pour une relance véritable des affaires maritimes et portuaires ».
La Plateforme nationale des syndicats de la corporation a salué le Président Ouattara qui, depuis son accession à la magistrature suprême, a permis au secteur maritime et portuaire, de connaître de nombreuses avancées.
Entre autres le retour des ports sous la même tutelle que l’administration maritime, l’érection des affaires maritimes et portuaires comme une force de sécurité intérieure, l’organisation des états généraux de la mer en 2011, l’adoption d’un nouveau code maritime.
Etaient présents à ce point de presse, les responsables du Syndicat national des affaires maritimes (SYNAFMAR), la Coordination des agents des affaires maritimes et portuaires (CAAMP), le Collectif des agents des affaires maritimes et portuaires (CAAMP), le Renouveau syndical des agents des affaires maritimes et portuaires (RESAAMP) et l’Union générale des agents des affaires maritimes et portuaires (UGAMP).