Le transport paralysé à Doropo, après l'annonce du décès de Wattao. (DR)
Doropo : Consternation totale dans la ville après le décès de Wattao
Depuis l’annonce du décès du colonel-major Issiaka Ouattara dit Wattao, dimanche, aux Etats-Unis, sa ville natale Doropo située à 75 km au Nord de Bouna, dans la région du Bounkani, est plongée dans la consternation.
Le maire résident de cette ville, Ouattara Bondassogo Jean, joint au téléphone par l’AIP, a livré des informations relatives à la triste nouvelle dans cette cité située à 16 km du Burkina Faso.
« La ville est morte depuis l’annonce de la nouvelle. Des magasins ont fermé et de nombreux jeunes se sont attroupés devant la résidence du colonel-major. Toutes les activités sont au ralenti, l’on voit dans des ruelles, les populations pleurer l’un de leurs dignes fils », a fait savoir M. Ouattara, lui-même désemparé, car pour lui, la mort de cet officier supérieur apparait comme une symphonie inachevée pour le développement de Doropo.
« Nous allons sentir un grand vide autour de nous, car il était un acteur de développement majeur pour cette localité », a indiqué le maire résident qui a laissé entendre des sanglots.
Le décès de l’officier supérieur de l’armée a été confirmé lundi par le Chef de l’État Alassane Ouattara, qui a rendu un hommage à l’illustre disparu. Une minute de silence a, à cette occasion, été observée au palais présidentiel.
Anciennement commandant de la garde républicaine, il occupait depuis mars 2019, les fonctions de commandant des Unités rattachées à l’état-major général des armées (UREMGA).
« La ville est morte depuis l’annonce de la nouvelle. Des magasins ont fermé et de nombreux jeunes se sont attroupés devant la résidence du colonel-major. Toutes les activités sont au ralenti, l’on voit dans des ruelles, les populations pleurer l’un de leurs dignes fils », a fait savoir M. Ouattara, lui-même désemparé, car pour lui, la mort de cet officier supérieur apparait comme une symphonie inachevée pour le développement de Doropo.
« Nous allons sentir un grand vide autour de nous, car il était un acteur de développement majeur pour cette localité », a indiqué le maire résident qui a laissé entendre des sanglots.
Le décès de l’officier supérieur de l’armée a été confirmé lundi par le Chef de l’État Alassane Ouattara, qui a rendu un hommage à l’illustre disparu. Une minute de silence a, à cette occasion, été observée au palais présidentiel.
Anciennement commandant de la garde républicaine, il occupait depuis mars 2019, les fonctions de commandant des Unités rattachées à l’état-major général des armées (UREMGA).