Fermeture de la clinique Grand centre : Une décision courageuse et responsable
ll y a deux jours, je lisais sur un site web les mesures prises par le gouvernement sénégalais pour rappeler à l’ordre les médecins qui ont dû ranger dans les tiroirs les fondamentaux de leur serment d’Hippocrate qu’ils ont prêté avant d’obtenir l’autorisation d’exercer. Parce qu’ils assuraient avec beaucoup de légèreté la prise en charge des malades qui viennent les consulter. Conséquences : des malades meurent à la pelle dans les hôpitaux...faute d’assistance. Consignes fermes leur ont été données pour une meilleure prise en charge des malades qui arrivent aux services des urgences.
Seulement deux jours après, en Côte d’Ivoire, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Aka Aouélé, vient de prendre une décision, celle de fermer (pour une période d’un mois) la clinique le Grand centre, suite au décès que l’on pouvait éviter d’une petite fille. Une décision courageuse et responsable. Les cliniques et hôpitaux ont trop tué les patients que l’on pouvait sauver si un minimum d’attention leur avait été accordé. Les exemples et témoignages fusent de partout.
Des malades viennent dans l’urgence sans argent, et les médecins exigent des sommes exorbitantes avant de prendre en charge le patient. Qu’il soit dans un état critique ou pas, les médecins s’en fichent et exigent d’abord les sous. Et très souvent dans la recherche de ces moyens, le malade succombe. Du coup, les cliniques et hôpitaux sont devenus des ‘’mouroirs’’, parce que le serment d’Hippocrate des médecins est foulé aux pieds par eux-mêmes. Et notre confrère du site ‘’Le nouvel Afrik.com’’ a bien raison de s’interroger sur ces deux expressions : « le Serment d’Hippocrate ou l’hypocrisie d’un serment ».
C’est exactement la deuxième expression ‘’l’hypocrisie d’un serment’’ qui est bien servie ou pratiquée dans nombre de structures sanitaires dans nos villes et villages, endeuillant de nombreuses familles dont le cri du cœur n’est souvent pas entendu des autorités.
Cette fois-ci, l’autorité n’est pas restée sourde aux plaintes des parents de patients qui reprochent tant de griefs aux médecins. En fermant temporairement la clinique le Grand centre, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Aka Aouélé, brandit donc le bâton contre ses collaborateurs qui causeraient des gaffes dans l’exercice de leur métier. La récréation est terminée.
Á bon entendeur, salut !
Des malades viennent dans l’urgence sans argent, et les médecins exigent des sommes exorbitantes avant de prendre en charge le patient. Qu’il soit dans un état critique ou pas, les médecins s’en fichent et exigent d’abord les sous. Et très souvent dans la recherche de ces moyens, le malade succombe. Du coup, les cliniques et hôpitaux sont devenus des ‘’mouroirs’’, parce que le serment d’Hippocrate des médecins est foulé aux pieds par eux-mêmes. Et notre confrère du site ‘’Le nouvel Afrik.com’’ a bien raison de s’interroger sur ces deux expressions : « le Serment d’Hippocrate ou l’hypocrisie d’un serment ».
C’est exactement la deuxième expression ‘’l’hypocrisie d’un serment’’ qui est bien servie ou pratiquée dans nombre de structures sanitaires dans nos villes et villages, endeuillant de nombreuses familles dont le cri du cœur n’est souvent pas entendu des autorités.
Cette fois-ci, l’autorité n’est pas restée sourde aux plaintes des parents de patients qui reprochent tant de griefs aux médecins. En fermant temporairement la clinique le Grand centre, le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Aka Aouélé, brandit donc le bâton contre ses collaborateurs qui causeraient des gaffes dans l’exercice de leur métier. La récréation est terminée.
Á bon entendeur, salut !