Kobenan Kouassi Adjoumani : “Le bien-être des planteurs guide les décisions du gouvernement’’
La Côte d’Ivoire a mis le cap sur la transformation structurelle de son économie, ce qui passe par la transformation de ses matières premières agricoles.
Pour le ministre de l’Agriculture et du Développement durable, Kobenan Kouassi Adjoumani, qui procédait à l’ouverture officielle, le 10 janvier, de la 8e édition des Journées nationales pour la valorisation de l’agriculture, des ressources animales et halieutiques, à Bouaké, « c’est en effet, à travers cette mutation que nous parviendrons à améliorer et à assurer durablement un revenu plus confortable à nos planteurs ».
Mais avant d’atteindre ce cap, a-t-il tenu à rassurer, « le bien-être des planteurs ivoiriens est un souci qui guide en permanence les choix et les décisions du Président de la République ». Comme preuve de son affirmation, Kobenan Adjoumani a évoqué l’augmentation du prix d’achat bord champs du kilogramme de cacao qui est passé de 775 F Cfa à 825 F Cfa pour cette campagne. Celui du coton a aussi connu une augmentation de 50 FCfa. Et le prix du café, lui, a quasiment doublé. « Je suis convaincu que le Président est en train de travailler pour que, la prochaine fois, ces spéculations connaissent une meilleure rémunération», a-t-il commenté.
Ces efforts du gouvernement, a indiqué le ministre de l’Agriculture, ont un impact significatif sur le budget de l’État. Mais à l’en croire, «pour le Président de la République, quel que soit l’impact sur le budget, le plus important c’est le bien-être des producteurs ».
Les Journées nationales pour la valorisation de l’agriculture est une plateforme qui vise à réunir les producteurs de toutes les filières agricoles, pour réfléchir, échanger autour des problématiques pertinentes susceptibles de rendre plus ambitieuse et plus performante l’agriculture ivoirienne. Mais aussi pour partager des expériences et de bonnes pratiques dans un secteur qui connaît de profondes mutations.
Cette édition a eu pour thème : « Quelles stratégies pour une meilleure valorisation de nos matières premières par une transformation locale ? ». Elle a enregistré la présence de plusieurs acteurs du secteur agricole ivoirien mais également des représentants d’institutions internationales et d’autorités gouvernementales dont le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Aka Aouélé.
Mais avant d’atteindre ce cap, a-t-il tenu à rassurer, « le bien-être des planteurs ivoiriens est un souci qui guide en permanence les choix et les décisions du Président de la République ». Comme preuve de son affirmation, Kobenan Adjoumani a évoqué l’augmentation du prix d’achat bord champs du kilogramme de cacao qui est passé de 775 F Cfa à 825 F Cfa pour cette campagne. Celui du coton a aussi connu une augmentation de 50 FCfa. Et le prix du café, lui, a quasiment doublé. « Je suis convaincu que le Président est en train de travailler pour que, la prochaine fois, ces spéculations connaissent une meilleure rémunération», a-t-il commenté.
Ces efforts du gouvernement, a indiqué le ministre de l’Agriculture, ont un impact significatif sur le budget de l’État. Mais à l’en croire, «pour le Président de la République, quel que soit l’impact sur le budget, le plus important c’est le bien-être des producteurs ».
Les Journées nationales pour la valorisation de l’agriculture est une plateforme qui vise à réunir les producteurs de toutes les filières agricoles, pour réfléchir, échanger autour des problématiques pertinentes susceptibles de rendre plus ambitieuse et plus performante l’agriculture ivoirienne. Mais aussi pour partager des expériences et de bonnes pratiques dans un secteur qui connaît de profondes mutations.
Cette édition a eu pour thème : « Quelles stratégies pour une meilleure valorisation de nos matières premières par une transformation locale ? ». Elle a enregistré la présence de plusieurs acteurs du secteur agricole ivoirien mais également des représentants d’institutions internationales et d’autorités gouvernementales dont le ministre de la Santé et de l’Hygiène publique, le Dr Aka Aouélé.