Obsèques : Allah Thérèse a toujours souhaité être enterrée auprès de son époux, selon un proche
Prince la loi, fils de N’goran la loi, défunt mari de l’artiste Allah Thérèse décédée le dimanche 19 janvier 2020, a confié que sa maman adoptive a toujours souhaité qu’on l’enterre auprès de son père.
« De son vivant, maman disait que son corps n’appartenait pas à Gbofia. Elle souhaiterait qu’on l’enterre auprès de son époux. Et que ses traces sont à Konankokorékro. Elle disait que c’est grâce à son mari qu’elle a eu le succès. Il est donc important qu’on l’enterre auprès de mon père », a révélé Prince, interrogé par un confrère.
Etudiant à l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (Insaac), Prince la loi, étreint par la douleur dit avoir été surpris par le décès de celle dont il rêvait d’accompagner partout avec l’accordéon laissé par son défunt père. « Je savais qu’elle avait mal au niveau des genoux. C’était un cas anodin. Elle n’était pas souffrante. J’ai appris après qu’elle avait mal au cou. Cela a duré deux jours », a-t-il expliqué.
Digne successeur de son père auprès de Mala, le pensionnaire de l’Insaac a également indiqué que la diva de la musique baoulé avait souligné que son défunt mari était comme son jumeau. Et qu’il serait difficile pour elle de continuer sans lui.
« J’ai fait mon possible pour lui remonter le moral. Je lui ai dit si elle abandonnait, elle n’allait pas vivre longtemps », a-t-il poursuivi rendant un hommage à l’artiste qui n’a cessé de murmurer le nom de son époux depuis son décès.
Etudiant à l’Institut national supérieur des arts et de l’action culturelle (Insaac), Prince la loi, étreint par la douleur dit avoir été surpris par le décès de celle dont il rêvait d’accompagner partout avec l’accordéon laissé par son défunt père. « Je savais qu’elle avait mal au niveau des genoux. C’était un cas anodin. Elle n’était pas souffrante. J’ai appris après qu’elle avait mal au cou. Cela a duré deux jours », a-t-il expliqué.
Digne successeur de son père auprès de Mala, le pensionnaire de l’Insaac a également indiqué que la diva de la musique baoulé avait souligné que son défunt mari était comme son jumeau. Et qu’il serait difficile pour elle de continuer sans lui.
« J’ai fait mon possible pour lui remonter le moral. Je lui ai dit si elle abandonnait, elle n’allait pas vivre longtemps », a-t-il poursuivi rendant un hommage à l’artiste qui n’a cessé de murmurer le nom de son époux depuis son décès.