Lycée professionnel des arts de Yamoussoukro : Les travaux vont s'accélérer pour s’achever en 2023
Le ministre de la Culture et de la Francophonie, Maurice Bandaman, a visité, le 25 janvier 2020, le chantier du Lycée professionnel des arts de Yamoussoukro
Le ministre de la Culture et de la Francophonie a visité, le 25 janvier 2020, le chantier du Lycée professionnel des arts de Yamoussoukro. Maurice Bandaman a pu se faire une idée exacte du niveau d'avancement des travaux de construction.
Lancés depuis trois ans déjà, les travaux de construction du lycée professionnel des arts de Yamoussoukro peinent à avancer en raison des difficultés financières. Prévu sur une superficie de 8 hectares, ce projet est estimé à 2,2 milliards FCfa.
A ce jour, la clôture ainsi que les travaux de terrassement du théâtre de verdure et du bâtiment administratif sont achevés, pour un décaissement de 400 millions FCfa, soit 20% du financement.
« Je peux vous dire que les choses iront très vite maintenant avec le budget-programme. Parce que le gouvernement nous donne la possibilité désormais de choisir nos priorités et d'y mettre le maximum de budget », a promis le ministre Maurice Bandaman, avant d'annoncer la fin des travaux pour 2023. Il n’a pas manqué d'expliquer l’ambition du Chef de l’État pour la construction des centres culturels intégrés, des musées et des bibliothèques au profit des populations.
Le lycée professionnel des arts de Yamoussoukro permettra de former de façon pratique des jeunes gens au Bac et au BTS dans les métiers artistiques. « Il s'agit de véritables praticiens de l'art et qui vont vivre de l'art, car ils sont directement opérationnels dès leur sortie du lycée », a souligné Maurice Bandaman, pour qui les expressions artistiques sont une grande pourvoyeuse d'emplois stables, permettant de lutter contre la pauvreté.
Pour sa part, Oulaï Siaba, responsable du cabinet qui supervise le chantier, a expliqué au ministre Maurice Bandaman qu'au final, le projet va coûter 2,5 à 3 milliards FCfa, en raison d'un important avenant. Il a précisé qu'en raison du terrain accidenté, les travaux de terrassement ont nécessité des frais supplémentaires.
Le chef du village de Morofé, Nanan Tanou Kouassi Georges, a quant à lui remercié le ministre de la Culture et de la Francophonie pour avoir choisi les terres de son village pour implanter cette école qui aidera à former l'élite ivoirienne en matière d'art.
Il a, en outre, souhaité que le projet connaisse une accélération, en vue d'être rapidement opérationnel.
A ce jour, la clôture ainsi que les travaux de terrassement du théâtre de verdure et du bâtiment administratif sont achevés, pour un décaissement de 400 millions FCfa, soit 20% du financement.
« Je peux vous dire que les choses iront très vite maintenant avec le budget-programme. Parce que le gouvernement nous donne la possibilité désormais de choisir nos priorités et d'y mettre le maximum de budget », a promis le ministre Maurice Bandaman, avant d'annoncer la fin des travaux pour 2023. Il n’a pas manqué d'expliquer l’ambition du Chef de l’État pour la construction des centres culturels intégrés, des musées et des bibliothèques au profit des populations.
Le lycée professionnel des arts de Yamoussoukro permettra de former de façon pratique des jeunes gens au Bac et au BTS dans les métiers artistiques. « Il s'agit de véritables praticiens de l'art et qui vont vivre de l'art, car ils sont directement opérationnels dès leur sortie du lycée », a souligné Maurice Bandaman, pour qui les expressions artistiques sont une grande pourvoyeuse d'emplois stables, permettant de lutter contre la pauvreté.
Pour sa part, Oulaï Siaba, responsable du cabinet qui supervise le chantier, a expliqué au ministre Maurice Bandaman qu'au final, le projet va coûter 2,5 à 3 milliards FCfa, en raison d'un important avenant. Il a précisé qu'en raison du terrain accidenté, les travaux de terrassement ont nécessité des frais supplémentaires.
Le chef du village de Morofé, Nanan Tanou Kouassi Georges, a quant à lui remercié le ministre de la Culture et de la Francophonie pour avoir choisi les terres de son village pour implanter cette école qui aidera à former l'élite ivoirienne en matière d'art.
Il a, en outre, souhaité que le projet connaisse une accélération, en vue d'être rapidement opérationnel.