Abidjan accueille le 1er Salon des plantes d'Afrique : Un rendez-vous pour valoriser la biodiversité continentale
Le tout premier Salon des plantes d’Afrique se tiendra du 5 au 9 novembre 2024 dans la capitale économique ivoirienne, Abidjan. L’information a été communiquée par Ibrahima Ouattara, commissaire général de l’événement.
Dans une note transmise aux médias, le commissaire général a indiqué que ce salon vise à mettre en valeur les plantes africaines dans une optique de développement durable et de conservation. Ce salon s’inscrit dans une démarche de préservation des ressources naturelles. « Ces arbres nourriciers sont essentiels pour la survie de l’humanité, offrant des vertus thérapeutiques, mais aussi des bienfaits culturels, économiques et alimentaires. Ils contribuent à l’équilibre de la biodiversité et à la sécurité alimentaire. Malheureusement, ils sont menacés, d’où notre appel à une adhésion collective pour une prise de conscience générale », précise le communiqué.
De nombreuses espèces, sauvages et domestiquées, seront mises en avant, notamment le néré (Parkia biglobosa), l’Amvout (Trichoscypha abut), le Sunsun (Diospyros mespiliformis), l’Apki (Ricinodendron heudoletii), le Manketti ou Mongongo (Schinziophyton rautanenii), le Baobab (Adansonia digitata), le Kplé ou manguier sauvage (Irvingia gabonensis), le N’tabakoumba (Detarium microcarpum), le Mahobohobo ou prune à sucre (Uapaca kirkiana), le Moabi (Baillonella toxiperma), le Bitéi (Beilschmiedia manii), l’Azanza (Azanza garckeana), le Marula (Sclerocarya birrea), le Karité (Butyrospermum parkii), le Wou-ticli (Myrianthus arboreus) et le Dattier du désert (Balanites aegyptiaca).
Cette première édition sera enrichie par des expositions, des conférences, des émissions télévisées et radiophoniques, des visites de sites, des remises de prix, et bien plus. Un espace gastronomique sera également aménagé, le tout dans une ambiance festive et conviviale, avec des participants venus de tout le continent africain et au-delà, a précisé le commissaire général.
De nombreuses espèces, sauvages et domestiquées, seront mises en avant, notamment le néré (Parkia biglobosa), l’Amvout (Trichoscypha abut), le Sunsun (Diospyros mespiliformis), l’Apki (Ricinodendron heudoletii), le Manketti ou Mongongo (Schinziophyton rautanenii), le Baobab (Adansonia digitata), le Kplé ou manguier sauvage (Irvingia gabonensis), le N’tabakoumba (Detarium microcarpum), le Mahobohobo ou prune à sucre (Uapaca kirkiana), le Moabi (Baillonella toxiperma), le Bitéi (Beilschmiedia manii), l’Azanza (Azanza garckeana), le Marula (Sclerocarya birrea), le Karité (Butyrospermum parkii), le Wou-ticli (Myrianthus arboreus) et le Dattier du désert (Balanites aegyptiaca).
Cette première édition sera enrichie par des expositions, des conférences, des émissions télévisées et radiophoniques, des visites de sites, des remises de prix, et bien plus. Un espace gastronomique sera également aménagé, le tout dans une ambiance festive et conviviale, avec des participants venus de tout le continent africain et au-delà, a précisé le commissaire général.