L’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) et le du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) ont exprimé leurs reconnaissances au Chef de l’État. (Honoré Bosson)
L’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci) et le du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) ont exprimé leurs reconnaissances au Chef de l’État. (Honoré Bosson)
Vœux de la Presse : Les doléances de l’Unjci et du Gepci
Le président de l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (Unjci), Jean-Claude Coulibaly, a souhaité une augmentation de l’enveloppe allouée à la presse. « Nous souhaitons que cette subvention atteigne 0,01% du budget de l’État par an, comme cela se fait dans certains pays comme la France », plaide-t-il.
Pour Jean-Claude Coulibaly, les journalistes veulent pour la Côte d’Ivoire une presse responsable, libre, crédible et de qualité. C’est pourquoi, il croit à l’appui du Président de la République pour atteindre ce but.
Pour témoigner de la gestion transparente de ces fonds, au cas où il seraient octroyés, le président de l’Unjci entend convier tous les acteurs des médias à un séminaire pour proposer un mécanisme de gestion clair. Il n’a pas manqué de féliciter, au nom de la corporation, le Chef de l’État pour l’énorme travail abattu à la tête de la Côte d’Ivoire, qui a été frappée par dix années de crise. Et en si peu de temps, précise Jean-Claude Coulibaly, Alassane Ouattara a su positionner le pays et redonner à l’Ivoirien sa fierté.
«Vous êtes le premier Président à recevoir la presse à l’occasion de la cérémonie d’échange des vœux, juste après les corps constitués de la République », se réjouit le président de l’Unjci. Qui justifie cette grande marque de considération du Président de la République par sa culture anglo-saxone qui reconnaît, dit-il, qu’il ne peut avoir de « société épanouie, démocratique sans une presse libre et crédible ».
Il a adressé sa reconnaissance au Chef de l’État pour les diverses subventions octroyées au secteur des médias à travers le Fonds de soutien et de développement de la Presse (Fsdp), via notamment trois projets phares, à savoir la mutuelle qui permet aux travailleurs de la presse privée de bénéficier d’une couverture sociale, le projet Synergie qui favorise le partage de production entre les radios afin d’enrichir leurs grilles de programme et enfin le portail du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) qui permet la vente en ligne des journaux et des supports médiatiques.
Élections de 2020Tout comme le président de l’Unjci, Patrice Yao, président du Gepci, s’est voulu reconnaissant des différents soutiens constants du Président Alassane Ouattara au secteur des médias. C’est d’ailleurs grâce à ce soutien que les médias, précise-t-il, continuent de survivre et de résister dans un contexte concurrentiel et de plus en plus exigeant, en raison de l’explosion du numérique.
Toutefois, il l’appelle, « en bon père de famille », à voler au secours du secteur pour cette année électorale.
Pour lui, 2020 étant une année charnière, décisive pour la nation ivoirienne, la presse doit être au rendez-vous et durant tout le processus.
C’est pour cette raison qu’il souhaite un accompagnement pour réussir sa mission.
Face à toutes ces doléances et compliments à lui faits par les différents représentants des médias et même le ministre de la Communication et des Médias, Alassane Ouattara a promis d’apporter, de diverses manières, son appui au secteur, surtout lors de cette année électorale.
Pour témoigner de la gestion transparente de ces fonds, au cas où il seraient octroyés, le président de l’Unjci entend convier tous les acteurs des médias à un séminaire pour proposer un mécanisme de gestion clair. Il n’a pas manqué de féliciter, au nom de la corporation, le Chef de l’État pour l’énorme travail abattu à la tête de la Côte d’Ivoire, qui a été frappée par dix années de crise. Et en si peu de temps, précise Jean-Claude Coulibaly, Alassane Ouattara a su positionner le pays et redonner à l’Ivoirien sa fierté.
«Vous êtes le premier Président à recevoir la presse à l’occasion de la cérémonie d’échange des vœux, juste après les corps constitués de la République », se réjouit le président de l’Unjci. Qui justifie cette grande marque de considération du Président de la République par sa culture anglo-saxone qui reconnaît, dit-il, qu’il ne peut avoir de « société épanouie, démocratique sans une presse libre et crédible ».
Il a adressé sa reconnaissance au Chef de l’État pour les diverses subventions octroyées au secteur des médias à travers le Fonds de soutien et de développement de la Presse (Fsdp), via notamment trois projets phares, à savoir la mutuelle qui permet aux travailleurs de la presse privée de bénéficier d’une couverture sociale, le projet Synergie qui favorise le partage de production entre les radios afin d’enrichir leurs grilles de programme et enfin le portail du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (Gepci) qui permet la vente en ligne des journaux et des supports médiatiques.
Élections de 2020Tout comme le président de l’Unjci, Patrice Yao, président du Gepci, s’est voulu reconnaissant des différents soutiens constants du Président Alassane Ouattara au secteur des médias. C’est d’ailleurs grâce à ce soutien que les médias, précise-t-il, continuent de survivre et de résister dans un contexte concurrentiel et de plus en plus exigeant, en raison de l’explosion du numérique.
Toutefois, il l’appelle, « en bon père de famille », à voler au secours du secteur pour cette année électorale.
Pour lui, 2020 étant une année charnière, décisive pour la nation ivoirienne, la presse doit être au rendez-vous et durant tout le processus.
C’est pour cette raison qu’il souhaite un accompagnement pour réussir sa mission.
Face à toutes ces doléances et compliments à lui faits par les différents représentants des médias et même le ministre de la Communication et des Médias, Alassane Ouattara a promis d’apporter, de diverses manières, son appui au secteur, surtout lors de cette année électorale.