Ecole numérique en Côte d’Ivoire : Des acteurs du système planchent sur l’expansion du projet
Le directeur de cabinet du ministère de l’Éducation nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, Kabran Assoumou, a présidé, mercredi, au siège de la Banque africaine de développement (Bad), une réunion du Groupe des partenaires qui a porté sur le bilan à mi-parcours du projet École numérique d’excellence africaine (Enea).
Démarrée en 2017, la phase pilote du projet qui va s’achever fin 2020 a permis de former 200 enseignants en provenance de 20 établissements.
Dans sa déclaration, le représentant de la ministre Kandia Camara a encouragé les partenaires de l’école ivoirienne «à apporter, une fois de plus, leur soutien à ce projet en Côte d’Ivoire pour notre école de demain». Surtout que le projet Enea permet « d’exploiter le potentiel du numérique pour, d’une part, innover en matière des pratiques de nos enseignants. Et, d’autre part, préparer nos élèves à une vie d’apprentissage adaptée à l’évolution rapide des compétences».
Pour la relance du projet, de nouveaux appuis sont à rechercher, a, pour sa part, fait remarquer Aboubacar Coulibaly, directeur des technologies du système d’information (Dtsi). « Nous avons été accompagnés financièrement par l’Ong Gesci. Les financements arrivent à expiration. Nous sommes à la recherche de nouveaux appuis pour étendre progressivement ce projet à plusieurs établissements », a-t-il plaidé.
Concernant la formation des enseignants, Sylvie Tanflotien, gestionnaire Enea Côte d’Ivoire, a présenté les attentes 2017-2020 du projet. Il va s’agir, entre autres, d’achever le troisième cycle de formation portant sur « la création des connaissances ».
Le projet École numérique d’excellence africaine (Enea) est financé par l’Ong Gesci dans trois pays d’Afrique (Kenya, Tanzanie et Côte d’Ivoire). Il vise à améliorer la qualité du système éducatif de ces pays par un modèle non seulement innovant, mais surtout adossé à un référentiel solide : celui de l’Unesco en matière de compétences Tic des enseignants.
Dans sa déclaration, le représentant de la ministre Kandia Camara a encouragé les partenaires de l’école ivoirienne «à apporter, une fois de plus, leur soutien à ce projet en Côte d’Ivoire pour notre école de demain». Surtout que le projet Enea permet « d’exploiter le potentiel du numérique pour, d’une part, innover en matière des pratiques de nos enseignants. Et, d’autre part, préparer nos élèves à une vie d’apprentissage adaptée à l’évolution rapide des compétences».
Pour la relance du projet, de nouveaux appuis sont à rechercher, a, pour sa part, fait remarquer Aboubacar Coulibaly, directeur des technologies du système d’information (Dtsi). « Nous avons été accompagnés financièrement par l’Ong Gesci. Les financements arrivent à expiration. Nous sommes à la recherche de nouveaux appuis pour étendre progressivement ce projet à plusieurs établissements », a-t-il plaidé.
Concernant la formation des enseignants, Sylvie Tanflotien, gestionnaire Enea Côte d’Ivoire, a présenté les attentes 2017-2020 du projet. Il va s’agir, entre autres, d’achever le troisième cycle de formation portant sur « la création des connaissances ».
Le projet École numérique d’excellence africaine (Enea) est financé par l’Ong Gesci dans trois pays d’Afrique (Kenya, Tanzanie et Côte d’Ivoire). Il vise à améliorer la qualité du système éducatif de ces pays par un modèle non seulement innovant, mais surtout adossé à un référentiel solide : celui de l’Unesco en matière de compétences Tic des enseignants.