Modification de la constitution: Le Chef de l’État devant l’Assemblée nationale en mars
En ce qui concerne les ajustements à faire relativement à la Loi fondamentale, le chef de l’exécutif a déclaré que son intention est de conforter les textes de loi, voir les cohérences techniques sur le plan judiciaire. « Ces ajustements ne visent pas à exclure qui que ce soit. Ce sera pour la consolidation de la cohésion nationale, de la paix et de la stabilité », a-t-il insisté.
Le Chef de l’État a tenu à rassurer l’opinion nationale et internationale que ce scrutin se passera dans les conditions optimales. « Les élections se passeront bien, mieux qu’en 2015 », s’est-il engagé. Avant de préciser qu’il n’a pas besoin de tripatouiller les résultats du scrutin pour que son parti demeure au pouvoir. « Comment peut-on imaginer qu’un parti qui a 153 députés sur 255, 138 mairies sur 201, 24 régions sur 3 peut perdre une élection ? Qui peut battre un tel parti ? Nous allons gagner au soir du 31 octobre », a-t-il lancé au grand monde qui scandait : « Ado ! Ado ! Ado ! »