Environnement des affaires : L’optimisme des patrons d’entreprises
A l’occasion de la célébration de ses cinq ans de recherche économique en Côte d’Ivoire, le cabinet Oxford business group (Obg), a publié une enquête sur la situation économique en présence du ministre auprès du Premier ministre chargé de la Promotion de l’investissement privé, Emmanuel Essis et du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Pr Joseph Séka Séka.
« Depuis la fin de la crise politique en 2011, l’économie ivoirienne a réalisé de bons progrès, avec une croissance vigoureuse de son Pib de l’ordre de 8% par an. Si un ralentissement est attendu en 2020 en raison des élections présidentielles qui se tiendront en fin d’année, une grande majorité des chefs d’entreprise reste optimiste, voire très optimiste quant aux perspectives économiques pour les douze prochains mois », telles sont les grandes lignes des résultats de la dernière enquête réalisée par le cabinet d’intelligence économique Oxford business group (Obg), en collaboration avec Orange Business.
Une enquête officiellement publiée, le mois dernier à Abidjan. C’était à l’occasion de la célébration des cinq ans de recherche économique d’Obg en Côte d’Ivoire, en présence du ministre auprès du Premier Ministre chargé de la Promotion de l’investissement privé, Emmanuel Essis et du ministre de l’Environnement et du Développement durable, Pr Joseph Séka Séka.
Il ressort de cette troisième édition de l’enquête Côte d’Ivoire Ceo Survey que les experts d’Obg ont interrogé des dirigeants d’entreprise de tous types de secteurs et de tailles variées afin de recueillir leurs impressions sur l’environnement des affaires et les perspectives économiques du pays à court terme.
Dans le cadre d’entretiens réalisés en face à face, explique le communiqué transmis aux médias, les chefs d’entreprise ont ainsi pu répondre à une série de questions permettant notamment de mieux cerner les obstacles au développement économique et les défis à relever pour le pays. « 75% » de ces patrons ont déclaré « qu’il était probable voire très probable que leur entreprise réalise un investissement important au cours de 12 prochains mois et 72% ont des attentes positives ou très positives quant au climat des affaires au cours de cette période ».
Ces résultats traduisent, selon le communiqué, les efforts réalisés par le gouvernement ivoirien ces dernières années pour établir un climat d’affaires attractif pour les opérateurs économiques. La stratégie de diversification de l’économie mise en place dans le cadre des Plans nationaux de développement (Pnd 2012-2015 et 2016-2020) les politiques ciblées introduites pour soutenir le développement de secteurs clés « semblent avoir porté leurs fruits ».
L’enquête révèle, cependant que, même si la Côte d’Ivoire a fait des progrès considérables, grâce à d’importantes réformes, et attirant dans le même temps des investissements étrangers en constante hausse, le pays reste toutefois «vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux des matières premières », selon 68% des patrons d’entreprises interrogés, qui voient dans la volatilité des cours l’événement extérieur le plus susceptible d’impacter l’économie ivoirienne sur le court à moyen terme.
Premier producteur mondial de cacao, la Côte d’Ivoire compte également parmi ses principaux produits exportés la noix de cajou et le coton et une chute des cours pourrait avoir des conséquences importantes sur les recettes économiques du pays.
En plus de l’instabilité dans les pays voisins qui constitue « un autre événement extérieur identifié par les responsables d’entreprises « comme un potentiel obstacle à la croissance économique du pays » (19% en 2019, contre 9% 2018), l’enquête révèle également que le déficit de main d’œuvre qualifiée (cité par 66% des chefs d’entreprise interrogés) est un autre obstacle à l’expansion économique de la Côte d’Ivoire.
Il ressort de cette troisième édition de l’enquête Côte d’Ivoire Ceo Survey que les experts d’Obg ont interrogé des dirigeants d’entreprise de tous types de secteurs et de tailles variées afin de recueillir leurs impressions sur l’environnement des affaires et les perspectives économiques du pays à court terme.
Dans le cadre d’entretiens réalisés en face à face, explique le communiqué transmis aux médias, les chefs d’entreprise ont ainsi pu répondre à une série de questions permettant notamment de mieux cerner les obstacles au développement économique et les défis à relever pour le pays. « 75% » de ces patrons ont déclaré « qu’il était probable voire très probable que leur entreprise réalise un investissement important au cours de 12 prochains mois et 72% ont des attentes positives ou très positives quant au climat des affaires au cours de cette période ».
Ces résultats traduisent, selon le communiqué, les efforts réalisés par le gouvernement ivoirien ces dernières années pour établir un climat d’affaires attractif pour les opérateurs économiques. La stratégie de diversification de l’économie mise en place dans le cadre des Plans nationaux de développement (Pnd 2012-2015 et 2016-2020) les politiques ciblées introduites pour soutenir le développement de secteurs clés « semblent avoir porté leurs fruits ».
L’enquête révèle, cependant que, même si la Côte d’Ivoire a fait des progrès considérables, grâce à d’importantes réformes, et attirant dans le même temps des investissements étrangers en constante hausse, le pays reste toutefois «vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux des matières premières », selon 68% des patrons d’entreprises interrogés, qui voient dans la volatilité des cours l’événement extérieur le plus susceptible d’impacter l’économie ivoirienne sur le court à moyen terme.
Premier producteur mondial de cacao, la Côte d’Ivoire compte également parmi ses principaux produits exportés la noix de cajou et le coton et une chute des cours pourrait avoir des conséquences importantes sur les recettes économiques du pays.
En plus de l’instabilité dans les pays voisins qui constitue « un autre événement extérieur identifié par les responsables d’entreprises « comme un potentiel obstacle à la croissance économique du pays » (19% en 2019, contre 9% 2018), l’enquête révèle également que le déficit de main d’œuvre qualifiée (cité par 66% des chefs d’entreprise interrogés) est un autre obstacle à l’expansion économique de la Côte d’Ivoire.