
Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a procédé lundi à la clôture du dialogue politique. (Bosson Honoré)
Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly a procédé lundi à la clôture du dialogue politique. (Bosson Honoré)
Dialogue politique : La phase 2 s’est achevée lundi
Le chef du gouvernement a procédé le lundi 17 février, à la clôture de la deuxième phase du dialogue politique, entamée en janvier.
Le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly s’est réjoui, lundi, de la participation de tous les acteurs de la vie politique et de la société civile à la deuxième phase du dialogue politique entamée en janvier. « Cette phase 2 a été saluée par toutes les parties prenantes, aussi bien les partis et groupements politiques que les organisations de la société civile, dans leur diversité », s’est félicité le chef du gouvernement, au cours de la cérémonie de clôture qui a eu lieu à la Primature, au Plateau.
Pour lui, « cette participation effective et active de tous les acteurs politiques et de la société civile augure de lendemains meilleurs pour la démocratie en Côte d’Ivoire ». Il a ajouté que cela montre la volonté des acteurs politiques « d’aller à des élections apaisées ».
C’est pourquoi, « au terme de plusieurs rencontres, certains en comité restreint, d’autres en plénière, que j’ai eu à présider, nous nous retrouvons aujourd’hui pour procéder à la clôture des discussions que nous avons entamées le 6 janvier », a déclaré Gon Coulibaly.
Il s’est prononcé sur le bilan des négociations, au cours de cette autre phase du dialogue politique entre le gouvernement les partis politiques et la société civile. « Du rapport fait par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, nous avons pu noter des points de convergence, des points d’accord, des poins de convergence possibles, des désaccords et des recommandations », a fait savoir le chef du gouvernement.
Au nombre des « points d’accord possibles », il a cité la question du relèvement de la caution à la présidentielle, tout comme celle relative au parrainage, celle aussi de la baisse du taux de suffrage obtenu, en vue du remboursement de la caution. Le chef du gouvernement a cité aussi, comme point de convergence, le problème de la transhumance politique, au cours des élections.
Par ailleurs, il a noté qu’il y a eu « des points de divergence et des recommandations qui ont été faites, soit à l’endroit de l’administration ou de la Commission électorale indépendante, pour rendre le processus plus efficace ».
Dans tous les cas, « nous rendrons compte au Président de la République, Chef d’État. Et le gouvernement, conformément aux dispositions en vigueur, avisera sur l’ensemble des différents points », a conclu le chef du gouvernement, en remerciant les acteurs qui ont pris activement part à cette phase du dialogue politique.
Pour rappel, sur instruction du Président Alassane Ouattara, la deuxième phase du dialogue politique a débuté le 6 janvier. Elle a porté essentiellement sur le code électoral. Il faut, par ailleurs, noter que la première phase de ces discussions s’est déroulée du 24 janvier au 26 juin 2019. Elle avait essentiellement porté sur la Cei.
C’est pourquoi, « au terme de plusieurs rencontres, certains en comité restreint, d’autres en plénière, que j’ai eu à présider, nous nous retrouvons aujourd’hui pour procéder à la clôture des discussions que nous avons entamées le 6 janvier », a déclaré Gon Coulibaly.
Il s’est prononcé sur le bilan des négociations, au cours de cette autre phase du dialogue politique entre le gouvernement les partis politiques et la société civile. « Du rapport fait par le ministre de l’Administration du territoire et de la Décentralisation, nous avons pu noter des points de convergence, des points d’accord, des poins de convergence possibles, des désaccords et des recommandations », a fait savoir le chef du gouvernement.
Au nombre des « points d’accord possibles », il a cité la question du relèvement de la caution à la présidentielle, tout comme celle relative au parrainage, celle aussi de la baisse du taux de suffrage obtenu, en vue du remboursement de la caution. Le chef du gouvernement a cité aussi, comme point de convergence, le problème de la transhumance politique, au cours des élections.
Par ailleurs, il a noté qu’il y a eu « des points de divergence et des recommandations qui ont été faites, soit à l’endroit de l’administration ou de la Commission électorale indépendante, pour rendre le processus plus efficace ».
Dans tous les cas, « nous rendrons compte au Président de la République, Chef d’État. Et le gouvernement, conformément aux dispositions en vigueur, avisera sur l’ensemble des différents points », a conclu le chef du gouvernement, en remerciant les acteurs qui ont pris activement part à cette phase du dialogue politique.
Pour rappel, sur instruction du Président Alassane Ouattara, la deuxième phase du dialogue politique a débuté le 6 janvier. Elle a porté essentiellement sur le code électoral. Il faut, par ailleurs, noter que la première phase de ces discussions s’est déroulée du 24 janvier au 26 juin 2019. Elle avait essentiellement porté sur la Cei.