Code électoral : Voici les points de désaccord
Le Premier ministre ivoirien, Amadou Gon Coulibaly, a relevé ce jeudi 20 février 2020, lors d’une conférence de presse, à la Primature, au Plateau, quelques points de désaccord au cours des discussions entre le gouvernement, les partis politiques et la société civile sur la réforme du code électoral.
Le chef du gouvernement a souligné que lors de ces discussions, la société civile a demandé qu’il y ait une limitation du nombre de mandats pour toutes les élections en Côte d’Ivoire à savoir : la présidentielle, les législatives, les municipales, les régionales et les sénatoriales, mais les partis politiques se sont opposés à cette idée.
Selon Amadou Gon Coulibaly, la société civile a également demandé de mettre fin à la transhumance politique, c’est-à-dire lorsqu’on est élu sous une bannière, on ne puisse pas changer, là aussi, les partis politiques ont marqué leur désaccord. Pour lui, ce ne sont pas des désaccords entre le gouvernement et l’opposition, mais plutôt entre les partis politiques et la société civile.
Poursuivant, le Premier ministre a relevé qu’il y a eu cependant des points d’accord. Il s’agit, entre autres, du parrainage citoyen, le relèvement de la caution à la présidentielle qui se situe entre 50 et 100 millions de FCfa, le taux du suffrage à avoir pour le remboursement de sa caution qui est de 10% aujourd’hui et devrait chuter à 5%.
De même, les parties prenantes se sont accordées à mettre fin à la transhumance des électeurs, c’est-à-dire qu’on ne peut plus aller voter dans une localité sous prétexte qu’on y a des intérêts économiques.
Selon Amadou Gon Coulibaly, la société civile a également demandé de mettre fin à la transhumance politique, c’est-à-dire lorsqu’on est élu sous une bannière, on ne puisse pas changer, là aussi, les partis politiques ont marqué leur désaccord. Pour lui, ce ne sont pas des désaccords entre le gouvernement et l’opposition, mais plutôt entre les partis politiques et la société civile.
Poursuivant, le Premier ministre a relevé qu’il y a eu cependant des points d’accord. Il s’agit, entre autres, du parrainage citoyen, le relèvement de la caution à la présidentielle qui se situe entre 50 et 100 millions de FCfa, le taux du suffrage à avoir pour le remboursement de sa caution qui est de 10% aujourd’hui et devrait chuter à 5%.
De même, les parties prenantes se sont accordées à mettre fin à la transhumance des électeurs, c’est-à-dire qu’on ne peut plus aller voter dans une localité sous prétexte qu’on y a des intérêts économiques.