Lutte contre la déforestation : Ministères, Ong et associations en quête de solutions durables pour sauver le parc de TaÏ
Un atelier a été organisé ce mardi 25 Février, à l’hôtel Azalaï, à Marcory.
Comment atteindre, dans les forêts ivoiriennes, l’objectif de production de produits de base sans déforestation ? Quelles solutions pour protéger particulièrement, et de façon durable, le parc national de Taï ? Telles sont quelques préoccupations, au centre d’un atelier qui se tient ce mardi 25 février, à l’hôtel Azalaï, à Marcory.
Initié par « Tropical Forest Alliance 2020 (TFA) », soit, l’alliance des forêts tropicales, en collaboration avec ses partenaires, cet atelier dit, de dialogue juridictionnel, a pour but d’entreprendre un examen des initiatives en cours dans le domaine du programme de réduction des émissions de carbone, et d’engager les participants dans un processus consultatif pour orienter les différentes actions collectives à entreprendre.
Présidée par le ministère de l’environnement et du développement durable, la rencontre a enregistré la présence d’une cinquantaine de participantes, issues de différents ministères, associations et autres structures du secteur privé. Notamment, le ministère des Eaux et Forêts, REDD + Côte d’Ivoire, la fondation mondiale du cacao, l’association interprofessionnelle de la filière palmier à huile, Solidaridad.
Le ministre de l’environnement et du développement durable, parrain de l’atelier, était représenté à la cérémonie d’ouverture, par son directeur de cabinet Parfait Kouadio. Celui-ci a exprimé sa reconnaissance à l’alliance des forêts tropicales et ses partenaires pour leur engagement à accompagner la Côte d’Ivoire, dans sa reconquête du couvert forestier et dans sa lutte contre les changements climatiques.
« Cet atelier s’inscrit pleinement dans le cadre des engagements pris par la Côte d’Ivoire pour marquer un découplage entre la production agricole et la déforestation. Il s’agira au cours de cette rencontre, de renforcer les synergies d’action entre les différents acteurs pour mieux accompagner la mise en œuvre du programme de réduction des émissions, autour du parc national de Taï, selon l’approche juridictionnelle », a-t-il indiqué.
Pour lui, le découplage entre la production agricole et la déforestation nécessite des actions communes et une parfaite synergie entre les différents acteurs.
Selon le directeur de cabinet du ministre Joseph Séka Séka, la Côte d’Ivoire s’est engagée à développer un programme de réduction des émissions de gaz autour du parc national de Taï, de concert avec tous ses partenaires du secteur privé, les organisations non gouvernementales, et les communautés riveraines. Cela, en vue de démontrer à l’ensemble de la communauté internationale, que la Côte d’Ivoire dispose de capacités nécessaires pour restaurer son paysage.
Pour sa part, Joseph Lumumba, coordonnateur régional de Tropical Forest alliance, a indiqué que cette structure est une plate-forme dédiée à la coopération public-privé, qui aide les organisations à respecter leurs engagements en matière de déforestation. Sa mission est d'aider les producteurs, les négociants et les acheteurs de produits agricoles et forestiers à réaliser leurs engagements en faveur de chaînes d'approvisionnement sans déforestation.
« TFA 2020 aide également les gouvernements des pays forestiers tropicaux à réaliser une meilleure croissance grâce à un développement rural durable en partenariat avec la société civile et les peuples autochtones », a-t-il poursuivi. Ajoutant que cette alliance à laquelle, la Côte d’Ivoire, s’est jointe en 2016, vise à éliminer la déforestation dans les chaînes d’approvisionnement de matières, en soutenant, les initiatives de production agricole durable, avec un accent particulier sur l’agroforesterie.
« Dans le cadre de sa stratégie en Côte d’Ivoire, TFA 2020 apporte un appui au Secrétariat Exécutif Permanent de la REDD+ en mobilisant les entreprises de cette plateforme à accompagner la mise en œuvre du Programme d’Investissement Forestier et du Programme de Réduction des Emissions (PRE) », a-t-il noté.
Présidée par le ministère de l’environnement et du développement durable, la rencontre a enregistré la présence d’une cinquantaine de participantes, issues de différents ministères, associations et autres structures du secteur privé. Notamment, le ministère des Eaux et Forêts, REDD + Côte d’Ivoire, la fondation mondiale du cacao, l’association interprofessionnelle de la filière palmier à huile, Solidaridad.
Le ministre de l’environnement et du développement durable, parrain de l’atelier, était représenté à la cérémonie d’ouverture, par son directeur de cabinet Parfait Kouadio. Celui-ci a exprimé sa reconnaissance à l’alliance des forêts tropicales et ses partenaires pour leur engagement à accompagner la Côte d’Ivoire, dans sa reconquête du couvert forestier et dans sa lutte contre les changements climatiques.
« Cet atelier s’inscrit pleinement dans le cadre des engagements pris par la Côte d’Ivoire pour marquer un découplage entre la production agricole et la déforestation. Il s’agira au cours de cette rencontre, de renforcer les synergies d’action entre les différents acteurs pour mieux accompagner la mise en œuvre du programme de réduction des émissions, autour du parc national de Taï, selon l’approche juridictionnelle », a-t-il indiqué.
Pour lui, le découplage entre la production agricole et la déforestation nécessite des actions communes et une parfaite synergie entre les différents acteurs.
Selon le directeur de cabinet du ministre Joseph Séka Séka, la Côte d’Ivoire s’est engagée à développer un programme de réduction des émissions de gaz autour du parc national de Taï, de concert avec tous ses partenaires du secteur privé, les organisations non gouvernementales, et les communautés riveraines. Cela, en vue de démontrer à l’ensemble de la communauté internationale, que la Côte d’Ivoire dispose de capacités nécessaires pour restaurer son paysage.
Pour sa part, Joseph Lumumba, coordonnateur régional de Tropical Forest alliance, a indiqué que cette structure est une plate-forme dédiée à la coopération public-privé, qui aide les organisations à respecter leurs engagements en matière de déforestation. Sa mission est d'aider les producteurs, les négociants et les acheteurs de produits agricoles et forestiers à réaliser leurs engagements en faveur de chaînes d'approvisionnement sans déforestation.
« TFA 2020 aide également les gouvernements des pays forestiers tropicaux à réaliser une meilleure croissance grâce à un développement rural durable en partenariat avec la société civile et les peuples autochtones », a-t-il poursuivi. Ajoutant que cette alliance à laquelle, la Côte d’Ivoire, s’est jointe en 2016, vise à éliminer la déforestation dans les chaînes d’approvisionnement de matières, en soutenant, les initiatives de production agricole durable, avec un accent particulier sur l’agroforesterie.
« Dans le cadre de sa stratégie en Côte d’Ivoire, TFA 2020 apporte un appui au Secrétariat Exécutif Permanent de la REDD+ en mobilisant les entreprises de cette plateforme à accompagner la mise en œuvre du Programme d’Investissement Forestier et du Programme de Réduction des Emissions (PRE) », a-t-il noté.