Coopération : Le Japon finance 3 projets à hauteur de 170 millions FCfa à Bayota, Lopou et Kangré

Signature d'accord entre la Côte d'Ivoire et le Japon. (Véronique Dadié)
Signature d'accord entre la Côte d'Ivoire et le Japon. (Véronique Dadié)
Signature d'accord entre la Côte d'Ivoire et le Japon. (Véronique Dadié)

Coopération : Le Japon finance 3 projets à hauteur de 170 millions FCfa à Bayota, Lopou et Kangré

Le 27/02/20 à 20:07
modifié 27/02/20 à 23:29
Trois projets dont un consiste à construire et équiper des salles de classe au collège moderne de Bayota, un autre qui vise l’extension du Centre de santé urbain de Lopou et un dernier ayant pour objectif de réaliser une maternité au sein du Centre de santé rural de Kangré. Voilà les différents projets qui seront financés par le Japon, à hauteur de 170 367 774 F Cfa.

Une cérémonie de signature de contrats de dons a eu lieu ce jeudi 27 février, à la résidence de l’ambassadeur du Japon, à Cocody. Le représentant diplomatique japonais a paraphé les documents avec d’abord Bouagnon Séry Raphaël, président du comité de gestion des établissements scolaires du collège moderne de Bayota, ensuite avec Koutouan Serge Sylvain, à la tête du comité de gestion du centre de santé urbain de Lopou, et enfin, avec Konan N’Gotta André, responsable de la Mutuelle des ressortissants de Kangré, dans le département de Sakassou.

Dans l’allocution qu’il a prononcée au cours de la cérémonie, Kuramitsu Hideaki a fait remarquer que ces différents travaux, une fois achevés, impacteront de façon positive les populations. A titre d’exemple, il a indiqué qu’à Lopou (Dabou), ce sont plus de 30 000 habitants qui pourront bénéficier de meilleurs traitements médicaux. Il a également fait savoir que ces projets vont contribuer à diminuer le gap entre les zones urbaines et rurales.

Étaient présents à la cérémonie des représentants des ministères techniques (Santé et Education) qui ont salué l’initiative du Japon. Idem pour les différents présidents des comités de gestion qui ont pris, en outre, l’engagement de suivre les travaux. Et d'en faire bon usage au terme des projets. Le diplomate Alcide Djédjé a exhorté les cadres de toutes les localités à s’approcher des ambassades, prêts à financer des micro-projets.


Le 27/02/20 à 20:07
modifié 27/02/20 à 23:29