Grand-Bassam / Abissa 2024 : la ville ‘’envahie’’ par les touristes et excursionnistes
Située à une trentaine de kilomètres d’Abidjan entre la mer et la lagune, la ville de Grand Bassam, capitale de la Côte d’Ivoire au siècle dernier, constitue une attraction touristique majeure avec ses maisons coloniales, ses marchés artisanaux et ses plages.
En marge de la fête traditionnelle de l’Abissa 2024, nombre de touristes européens et excursionnistes ivoiriens ont déferlé ce vendredi sur les différentes plages de la première capitale de la Côte d’Ivoire.
Selon les observateurs, cette situation est identique chaque fin de semaine.
« Il est vrai qu’avec la fête de l’Abissa, il y a beaucoup plus de monde, surtout cette semaine que les week-end ordinaire. Mais, les plages reçoivent du monde chaque fois », a insisté Saturnin K, un agent de la mairie de Grand Bassam.
Il est 15h 30 mn ce vendredi 1er novembre 2024, la plage de Grand-Bassam grouille de monde. Alors que des adolescents s’a donnent à cœur joie à un concours de danses et de chants « couper décaler », de Rap etc.
Un autre groupe de jeunes se baigne gaiement dans la mer.
Les plus audacieux, avec des planches et pneus de véhicules usagés, gonflés se livrent à une partie de surf.
D’autres jeunes, les plus âgés sûrement, tentent de nouer le contact avec les jeunes filles couchées dans le sable fin de la plage.
Ce spectacle sous le soleil, les ‘’Bassamois’’ le vivent presque tous les week-ends avec les excursionnistes et autres touristes.
Ils prennent d’assaut les 25 Km de plage, partant d’Azuretti à Mondoukou.
Ils sont pour la plupart des élèves et étudiants. Et, viennent des différents quartiers d’Abidjan, de Bassam et des villes environnantes.
Outre les scènes décrites plus haut, certains se constituent spontanément en équipe pour disputer des matches de volley-ball, de maracana, de water-polo, etc.
Les ‘’amoureux’’, eux, préfèrent les pique-niques sous les cocotiers.
« Je suis venue avec mon copain m’amuser. Depuis la rentrée scolaire c’est ma première sortie à la plage », confie Mlle Nobou Marcelline, étudiante dans une grande école d’enseignement supérieur de Bonoua. Tout en sirotant son lait de coco.
A la plage
A côté de ces différentes personnes. Il y a ceux qui viennent se détendre à la plage en faisant de la lecture.
Ces personnes-là, on les rencontre le plus souvent dans les zones les plus calmes d’Azuretti et de Mondoukou, où l’on n’entend que les bruits des vagues se briser sur le sable.
Si ce jour-là, il n’a été déploré aucun dégât, ce n’est pas le cas les autres fins de semaine.
En effet, avec le déferlement de milliers de baigneurs, il ne se passe pas de mois sans que l’on enregistre deux ou trois cas de noyade dans la mer.
Surtout en période de marée haute. Ainsi que les vols et agression sur des visiteurs.
« Une fois les voleurs ont emporté mes vêtements et mon argent. Alors que je me baignais avec des amis. Ce qui fait que maintenant lorsque je viens à la plage j’apporte le strict minimum », souligne Kouadio Mathurin, un habitué des lieux.
Certains excursionnistes, de l’ancienne capitale préfèrent les « balades » en pirogue sur la lagune. Ce circuit long d’environ de 2 kms (aller-retour), part du quartier ’’France’’ non loin du centre culturel Jean Baptiste Mockey.
A la découverte du paysage lacustre
Assis sur des tabourets dans une pirogue artisanale de 3 places, les passagers partent à la découverte du paysage lacustre. Mais surtout, admirer la lagune et le fleuve Comoé qui se jettent dans la mer. Ils sont conduits en général par des pêcheurs professionnels.
Ainsi, ils font office de guides et de sauveteurs. Les visiteurs s’initient à l’art de la pagaie. « J’avais peur mais je voulais absolument savourer le beau temps sur la lagune. » explique Mlle Ida Rida Brou en descendant de la pirogue.
Les amoureux de la pêche peuvent se faire accompagner en lagune pour une partie de pêche de poisson et autres crustacées avec un professionnel.
A leur retour ils peuvent se désaltérer et respirer l’air frais dans les nombreux restaurants sis en bordure de la lagune.
Les autres lieux appréciés par les excursionnistes dans cette ville balnéaire sont entre autres, le marché artisanal situé le long de la route reliant Grand Bassam à Abidjan.
On y trouve de tout, des petits objets africains en bois aux meubles faits sur mesure, en passant par les vêtements, etc.
L'une des spécialités locales est la pièce de coton teinte (rideaux, nappes, etc.). On peut les trouver aussi dans le centre artisanal du centre-ville.
Ils ne manquent surtout pas de visiter le vieux quartier « France » avec ses bâtiments et résidences coloniaux.
Il s’agit notamment de l’ancien palais du gouverneur devenu le musée du costume, le bureau des PTT et les toutes premières maisons de commerces de Côte d’Ivoire.
Selon les observateurs, cette situation est identique chaque fin de semaine.
« Il est vrai qu’avec la fête de l’Abissa, il y a beaucoup plus de monde, surtout cette semaine que les week-end ordinaire. Mais, les plages reçoivent du monde chaque fois », a insisté Saturnin K, un agent de la mairie de Grand Bassam.
Il est 15h 30 mn ce vendredi 1er novembre 2024, la plage de Grand-Bassam grouille de monde. Alors que des adolescents s’a donnent à cœur joie à un concours de danses et de chants « couper décaler », de Rap etc.
Un autre groupe de jeunes se baigne gaiement dans la mer.
Les plus audacieux, avec des planches et pneus de véhicules usagés, gonflés se livrent à une partie de surf.
D’autres jeunes, les plus âgés sûrement, tentent de nouer le contact avec les jeunes filles couchées dans le sable fin de la plage.
Ce spectacle sous le soleil, les ‘’Bassamois’’ le vivent presque tous les week-ends avec les excursionnistes et autres touristes.
Ils prennent d’assaut les 25 Km de plage, partant d’Azuretti à Mondoukou.
Ils sont pour la plupart des élèves et étudiants. Et, viennent des différents quartiers d’Abidjan, de Bassam et des villes environnantes.
Outre les scènes décrites plus haut, certains se constituent spontanément en équipe pour disputer des matches de volley-ball, de maracana, de water-polo, etc.
Les ‘’amoureux’’, eux, préfèrent les pique-niques sous les cocotiers.
« Je suis venue avec mon copain m’amuser. Depuis la rentrée scolaire c’est ma première sortie à la plage », confie Mlle Nobou Marcelline, étudiante dans une grande école d’enseignement supérieur de Bonoua. Tout en sirotant son lait de coco.
A la plage
A côté de ces différentes personnes. Il y a ceux qui viennent se détendre à la plage en faisant de la lecture.
Ces personnes-là, on les rencontre le plus souvent dans les zones les plus calmes d’Azuretti et de Mondoukou, où l’on n’entend que les bruits des vagues se briser sur le sable.
Si ce jour-là, il n’a été déploré aucun dégât, ce n’est pas le cas les autres fins de semaine.
En effet, avec le déferlement de milliers de baigneurs, il ne se passe pas de mois sans que l’on enregistre deux ou trois cas de noyade dans la mer.
Surtout en période de marée haute. Ainsi que les vols et agression sur des visiteurs.
« Une fois les voleurs ont emporté mes vêtements et mon argent. Alors que je me baignais avec des amis. Ce qui fait que maintenant lorsque je viens à la plage j’apporte le strict minimum », souligne Kouadio Mathurin, un habitué des lieux.
Certains excursionnistes, de l’ancienne capitale préfèrent les « balades » en pirogue sur la lagune. Ce circuit long d’environ de 2 kms (aller-retour), part du quartier ’’France’’ non loin du centre culturel Jean Baptiste Mockey.
A la découverte du paysage lacustre
Assis sur des tabourets dans une pirogue artisanale de 3 places, les passagers partent à la découverte du paysage lacustre. Mais surtout, admirer la lagune et le fleuve Comoé qui se jettent dans la mer. Ils sont conduits en général par des pêcheurs professionnels.
Ainsi, ils font office de guides et de sauveteurs. Les visiteurs s’initient à l’art de la pagaie. « J’avais peur mais je voulais absolument savourer le beau temps sur la lagune. » explique Mlle Ida Rida Brou en descendant de la pirogue.
Les amoureux de la pêche peuvent se faire accompagner en lagune pour une partie de pêche de poisson et autres crustacées avec un professionnel.
A leur retour ils peuvent se désaltérer et respirer l’air frais dans les nombreux restaurants sis en bordure de la lagune.
Les autres lieux appréciés par les excursionnistes dans cette ville balnéaire sont entre autres, le marché artisanal situé le long de la route reliant Grand Bassam à Abidjan.
On y trouve de tout, des petits objets africains en bois aux meubles faits sur mesure, en passant par les vêtements, etc.
L'une des spécialités locales est la pièce de coton teinte (rideaux, nappes, etc.). On peut les trouver aussi dans le centre artisanal du centre-ville.
Ils ne manquent surtout pas de visiter le vieux quartier « France » avec ses bâtiments et résidences coloniaux.
Il s’agit notamment de l’ancien palais du gouverneur devenu le musée du costume, le bureau des PTT et les toutes premières maisons de commerces de Côte d’Ivoire.