Les femmes engagées à lutter pour leurs droits. (DR)
Journée internationale de la femme : L’UNFPA initie une conférence sur les droits de la femme
L’Organisation des Nations Unies pour la population (Unfpa) et ses partenaires ont célébrée le lundi 9 mars 2020, lors d’une conférence initiée sur les droits de la femme à l’auditorium de l’immeuble CCIA au Plateau, la 43e édition de la journée internationale de la femme.
Pour le représentant de l’UNFPA en Côte d’Ivoire, M. Caspar Peek, l’objectif de cette rencontre était de faire le point sur les luttes et les avancées réalisées en matière des droits des femmes et de partager les expériences afin que d’ici à 2030 l’égalité des sexes soit une réalité en Côte d’Ivoire. Aussi, de faire des propositions concrètes pour maintenir la place centrale de l’autonomisation des femmes dans le programme de développement durable.
Selon Caspar Peek, dont l’organisation et ses agences sœurs œuvrent aux côtés des gouvernements pour faire progresser l’égalité des sexes partout dans le monde, des restrictions légales ont empêché 2,7 milliards de femmes d’accéder au même choix que les hommes en matière d’emploi. Et d’ajouter que « Moins de 25% des parlementaires étaient des femmes en 2019. Et une femme sur trois fait toujours l’expérience d’une violence basée sur le genre ».
La secrétaire exécutive de l’observatoire nationale de l’équité et du genre, Mme Kaba Fofana Yaya qui a animé la conférence, a fait comprendre que les difficultés dans la promotion des droits de la femme résident au niveau de l’appréhension de l’approche genre, de l’insuffisance de capacité pour intégrer véritablement le genre et le faite que les lois prises en faveur de l’égalité du genre ne soient pas rapidement admises ou votées par l’assemblée nationale.
« Nous espérons qu’en matière de représentativité des femmes dans les assemblées élues, aux prochaines élections générales, les femmes seront beaucoup prise en compte pour permettre à la Côte d’Ivoire d’être mieux classée dans les parlements mondiaux », a-t-elle souhaitée.
C’est en décembre 1977 que l’assemblée générale des nations unis adoptait une résolution instituant une journée des Nations Unies pour les droits des femmes et la paix internationale.
L’édition 2020 a été célébrée autour du thème : « Je suis de la génération égalité, levez-vous pour les droits de la Femme ».
Selon Caspar Peek, dont l’organisation et ses agences sœurs œuvrent aux côtés des gouvernements pour faire progresser l’égalité des sexes partout dans le monde, des restrictions légales ont empêché 2,7 milliards de femmes d’accéder au même choix que les hommes en matière d’emploi. Et d’ajouter que « Moins de 25% des parlementaires étaient des femmes en 2019. Et une femme sur trois fait toujours l’expérience d’une violence basée sur le genre ».
La secrétaire exécutive de l’observatoire nationale de l’équité et du genre, Mme Kaba Fofana Yaya qui a animé la conférence, a fait comprendre que les difficultés dans la promotion des droits de la femme résident au niveau de l’appréhension de l’approche genre, de l’insuffisance de capacité pour intégrer véritablement le genre et le faite que les lois prises en faveur de l’égalité du genre ne soient pas rapidement admises ou votées par l’assemblée nationale.
« Nous espérons qu’en matière de représentativité des femmes dans les assemblées élues, aux prochaines élections générales, les femmes seront beaucoup prise en compte pour permettre à la Côte d’Ivoire d’être mieux classée dans les parlements mondiaux », a-t-elle souhaitée.
C’est en décembre 1977 que l’assemblée générale des nations unis adoptait une résolution instituant une journée des Nations Unies pour les droits des femmes et la paix internationale.
L’édition 2020 a été célébrée autour du thème : « Je suis de la génération égalité, levez-vous pour les droits de la Femme ».