Protocole et relations publiques: Les professionnels de la sous-région partagent leurs connaissances à Abidjan
L’hôtel Seen d’Abidjan-Plateau a abrité la semaine dernière la 5e édition du Contact protocole. Organisée par le réseau Ipprb (International protocol and public relations board Ndlr), cette rencontre internationale des professionnels du protocole et des relations publiques s'est tenue sur trois jours et a vu la participation d’une trentaine d’acteurs du secteur, venus de cinq pays de la sous-région ouest-africaine (Côte d’Ivoire, Mali, Gabon, Burkina Faso et Togo).
Ils étaient essentiellement des chefs de protocole, des managers de grands événements, des chargés de communication et relations publiques, des chargés de mission et des diplomates. Comme à chaque édition, l’un des grands axes du Abidjan Contact Protocole 2020 était la formation, qui a été assurée par des intervenants triés sur le volet. Formation à l’issue de laquelle une certification dite Exécutive protocole manager a été délivrée aux participants.
C’était également l’occasion pour eux, comme l’avait indiqué Louis-Cheick Sissoko, vice-président international du réseau Ipprb, de plancher sur des thématiques comme la négociation, la médiation, la planification et la gestion des grands événements, la sûreté des sites, les relations internationales et l’ordre de préséance.
« Le cortège, la mise en place, la photo de famille, l’ordre de salutation, etc. Rien ne doit être fait au hasard. Mais parfois, on note des ratés lors de grands événements au regard des règles universelles. Aussi, les règles et pratiques étant évolutives et parfois un peu distinctes d’un pays à un autre, il faut nous mettre à niveau et partager nos connaissances et expériences. Ça concerne autant les protocoles auprès des personnalités que ceux qui sont dans l’événementiel », avait expliqué Moussa Yéo, président du réseau Ipprb Côte d’Ivoire. Il avait aussi tenu à remercier le directeur général du protocole d’État de Côte d’Ivoire pour son « soutien constant » à ses activités.
C’était également l’occasion pour eux, comme l’avait indiqué Louis-Cheick Sissoko, vice-président international du réseau Ipprb, de plancher sur des thématiques comme la négociation, la médiation, la planification et la gestion des grands événements, la sûreté des sites, les relations internationales et l’ordre de préséance.
« Le cortège, la mise en place, la photo de famille, l’ordre de salutation, etc. Rien ne doit être fait au hasard. Mais parfois, on note des ratés lors de grands événements au regard des règles universelles. Aussi, les règles et pratiques étant évolutives et parfois un peu distinctes d’un pays à un autre, il faut nous mettre à niveau et partager nos connaissances et expériences. Ça concerne autant les protocoles auprès des personnalités que ceux qui sont dans l’événementiel », avait expliqué Moussa Yéo, président du réseau Ipprb Côte d’Ivoire. Il avait aussi tenu à remercier le directeur général du protocole d’État de Côte d’Ivoire pour son « soutien constant » à ses activités.