Caisse des dépôts et de consignations de Côte d’Ivoire: Un accueil favorable de l’écosystème financier
« Je suis impressionné par la rapidité avec laquelle la Caisse de dépôts et consignations de Côte d’Ivoire (CDC-CI) se constitue ». Le Directeur général de la Caisse de dépôts de France ne croyait pas si bien dire : en l’espace d’un an d’opérationnalité, la CDC-CI est en effet parvenue à abattre un travail remarquable, en obtenant, entre autre, l’adhésion des différents acteurs de l’écosystème financier ivoirien.
Le président de l’Association professionnelle des banques et établissements financiers de Côte d’Ivoire (APBEF-CI), M. Daouda Coulibaly, le Directeur général de la Bourse régionale des valeurs mobilières (Brvm), M. Edoh Kossi Amenounvé, le Directeur général de la Caisse nationale de prévoyance sociale, M. Denis Charles Kouassi, le Directeur général de la caisse générale de retraite des agents de l’Etat (CGRAE), M. Abdrahmane Berté, le représentant de la banque africaine de développement (BAD), M. Emmanuel Diarra, Chef de division du développement des marchés capitaux, se sont joints aux patrons des caisses de dépôts de Côte d’Ivoire et de France, pour traduire leur volonté de travailler en partenariat pour que le nouvel acteur financier qu’est la caisse de dépôts et consignations de Côte d’ivoire, réussisse ses missions.
Comme pour joindre l’acte à la parole, le Directeur général de l’Institution de prévoyance sociale Cgrae, M. Berté a annoncé la participation effective de la CGRAE au renflouement de la CDC-CI, après avoir rappelé la convention conclue le 7 janvier portant cadre de coopération avec la CDC-CI et précisant le cadre opérationnel de ce partenariat. Lequel porte sur la nature des fonds que l’IPS-CGRAE peut confier à la CDC-CI ainsi que sur la conclusion de mandats spécifiques à chaque opération. Il s’agit pour la CGRAE, dira M. Berté, de « soutenir les investissements publics tout en renforçant les capacités de financement des prestations sociales sur le long terme ».
Le chef de division du développement des marchés de capitaux à la Banque africaine de développement (Bad), Emmanuel Diarra, déclare que le renforcement des capacités des agents de la Caisse des dépôts et de consignation de Côte d’Ivoire (Cdc-CI) est important pour l’amélioration de la gouvernance, d’autant plus que leur rôle de collecte de fonds et de réinvestissement fait appel à la question du risque. Il intervenait sur la problématique du rôle de la Caisse de dépôts dans le développement économique du pays, le mercredi 4 mars à Abidjan.
Le directeur général de la Bourse, M. Edoh Kossi Amenouve a d’abord expliqué quelques performances des Caisses de dépôts en citant l’exemple du groupe Caisse des dépôts de France qui a placé 148 milliards de dollars sur le marché, ainsi que la Caisse des dépôts du Québec qui a réalisé un placement de 340 milliards de dollars (1 dollar= environ 600 FCFA).Avant de proposer trois axes de collaboration possible avec la Cdc-CI dont il a salué l’avènement : les placements sur le marché ; être un émetteur de référence sur le marché ; aider la caisse à devenir un investisseur de premier plan.
Comme pour joindre l’acte à la parole, le Directeur général de l’Institution de prévoyance sociale Cgrae, M. Berté a annoncé la participation effective de la CGRAE au renflouement de la CDC-CI, après avoir rappelé la convention conclue le 7 janvier portant cadre de coopération avec la CDC-CI et précisant le cadre opérationnel de ce partenariat. Lequel porte sur la nature des fonds que l’IPS-CGRAE peut confier à la CDC-CI ainsi que sur la conclusion de mandats spécifiques à chaque opération. Il s’agit pour la CGRAE, dira M. Berté, de « soutenir les investissements publics tout en renforçant les capacités de financement des prestations sociales sur le long terme ».
Le chef de division du développement des marchés de capitaux à la Banque africaine de développement (Bad), Emmanuel Diarra, déclare que le renforcement des capacités des agents de la Caisse des dépôts et de consignation de Côte d’Ivoire (Cdc-CI) est important pour l’amélioration de la gouvernance, d’autant plus que leur rôle de collecte de fonds et de réinvestissement fait appel à la question du risque. Il intervenait sur la problématique du rôle de la Caisse de dépôts dans le développement économique du pays, le mercredi 4 mars à Abidjan.
Le directeur général de la Bourse, M. Edoh Kossi Amenouve a d’abord expliqué quelques performances des Caisses de dépôts en citant l’exemple du groupe Caisse des dépôts de France qui a placé 148 milliards de dollars sur le marché, ainsi que la Caisse des dépôts du Québec qui a réalisé un placement de 340 milliards de dollars (1 dollar= environ 600 FCFA).Avant de proposer trois axes de collaboration possible avec la Cdc-CI dont il a salué l’avènement : les placements sur le marché ; être un émetteur de référence sur le marché ; aider la caisse à devenir un investisseur de premier plan.