Une vue des 85 participants au séminaire et leurs instructeurs. (DR)
Formation pour coaches niveau 1 World taekwondo : Bonne nouvelle dans la grisaille
Les résultats du test pour entraîneur de niveau 1 international organisé du 12 au 14 mars 2020, à Dakar, au Sénégal, sont disponibles. La Côte d’Ivoire qui avait présenté 13 candidats à cette session de renforcement des capacités offerte par la World taekwondo federation, a fait fort.
En tout cas, les 13 représentants ivoiriens ont fait honneur au statut du pays en récoltant des moyennes qui oscillent entre 14 et 19 sur 20. En dehors d’un seul, qui a obtenu la moyenne de 8 sur 20 : tous ont décroché le précieux sésame.
Ils peuvent désormais exercer en toute tranquillité et encadrer les athlètes au cours des compétitions G1 et G2 de la World taekwondo federation. Dans deux ans, ils pourront même se présenter en vue du diplôme de niveau 2. Ce qui leur donnera le droit d’assurer l’encadrement technique des athlètes lors des compétitions d’un niveau un plus élevé comme les Grands prix, le Grand slam, le Championnat du monde, les Jeux olympiques, etc.
Sur la liste des nouveaux coaches cooptés par la Direction technique nationale (Dtn) pour ce séminaire, on note des anciens athlètes de haut niveau. A savoir, Banassa Diomandé (ancienne capitaine de la sélection nationale), Cynthia Kragbé, Georges Kobenan et Anicet Kassi. Un choix qui cadre bien avec la vision du président Bamba Cheick Daniel, qui a inscrit en bonne place dans son programme social, la reconversion des anciens athlètes aux métiers d’entraîneur, arbitre et autres. En tout cas, pour tous les anciens athlètes qui le désirent.
Toujours collé à sa logique, le patron national du taekwondo qui a fait créer un diplôme de Master en sport spécialité Taekwondo à l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs), n’a pas hésité à préfinancer la participation effective de six impétrants sur les treize techniciens présentés par la Côte d’Ivoire à Dakar.
L’objectif de la démarche fédérale est connu. Après avoir tutoyé les sommets de la discipline, notamment avec les titres de champion du monde et de champion olympique, le taekwondo ivoirien ne veut plus baigner dans l’amateurisme. Si tout se passe comme prévu par le président Bamba Cheick Daniel, le seul sport, en Côte d’Ivoire, qui a réussi à obtenir une salle de jeu multifonctionnelle par voie de diplomatie (le Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara) proclamera bientôt son « indépendance ».
Après avoir mis la fédération sur pilotage automatique et fait naître un diplôme de Master en sport spécialité Taekwondo à l’Institut national de la jeunesse (Injs), le comité directeur de la Fitkd a décidé de mettre de l’ordre au niveau du corps des coaches. N’importe qui, désormais, ne peut s’improviser coach lors des compétitions officielles. C’est dans cette optique que plusieurs techniciens ont été envoyés en formation au Sénégal.
Ils peuvent désormais exercer en toute tranquillité et encadrer les athlètes au cours des compétitions G1 et G2 de la World taekwondo federation. Dans deux ans, ils pourront même se présenter en vue du diplôme de niveau 2. Ce qui leur donnera le droit d’assurer l’encadrement technique des athlètes lors des compétitions d’un niveau un plus élevé comme les Grands prix, le Grand slam, le Championnat du monde, les Jeux olympiques, etc.
Sur la liste des nouveaux coaches cooptés par la Direction technique nationale (Dtn) pour ce séminaire, on note des anciens athlètes de haut niveau. A savoir, Banassa Diomandé (ancienne capitaine de la sélection nationale), Cynthia Kragbé, Georges Kobenan et Anicet Kassi. Un choix qui cadre bien avec la vision du président Bamba Cheick Daniel, qui a inscrit en bonne place dans son programme social, la reconversion des anciens athlètes aux métiers d’entraîneur, arbitre et autres. En tout cas, pour tous les anciens athlètes qui le désirent.
Toujours collé à sa logique, le patron national du taekwondo qui a fait créer un diplôme de Master en sport spécialité Taekwondo à l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs), n’a pas hésité à préfinancer la participation effective de six impétrants sur les treize techniciens présentés par la Côte d’Ivoire à Dakar.
L’objectif de la démarche fédérale est connu. Après avoir tutoyé les sommets de la discipline, notamment avec les titres de champion du monde et de champion olympique, le taekwondo ivoirien ne veut plus baigner dans l’amateurisme. Si tout se passe comme prévu par le président Bamba Cheick Daniel, le seul sport, en Côte d’Ivoire, qui a réussi à obtenir une salle de jeu multifonctionnelle par voie de diplomatie (le Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara) proclamera bientôt son « indépendance ».
Après avoir mis la fédération sur pilotage automatique et fait naître un diplôme de Master en sport spécialité Taekwondo à l’Institut national de la jeunesse (Injs), le comité directeur de la Fitkd a décidé de mettre de l’ordre au niveau du corps des coaches. N’importe qui, désormais, ne peut s’improviser coach lors des compétitions officielles. C’est dans cette optique que plusieurs techniciens ont été envoyés en formation au Sénégal.