Région du Guémon : Le préfet met en garde les ex-clandestins du mont Peko
Le préfet de la région du Guémon, préfet département de Duékoué, Ibrahima Cissé, a adressé une sévère mise en garde aux ex-clandestins du mont Peko qui seraient tenté de retourner dans cette forêt après leur déguerpissement.
C’était le 2 avril lors de sa visite à Bagohouo, devant les populations de la sous-préfecture venue en masse l'écouter, au terme d’une tournée qu’il a entreprise dans le département, depuis sa nomination en décembre dernier. « Il ne faut pas que les gens vous blaguent. Ceux qui attendent une quelconque situation pour retourner là-bas doivent comprendre que ce n’est pas possible. L’État de Côte d’Ivoire ne reviendra jamais sur sa décision », a martelé le préfet de région.
« Ne rêvez pas, n’écoutez pas les vendeurs d’illusions qui vous font croire qu’il est possible de revenir dans le mont Peko», a-t-il prévenu. A ce sujet, il a précisé que d’importants financements sont attendus pour permettre au mont Peko de jouer véritablement son rôle dans l’écosystème ivoirien.
Le préfet prévient ceux qui encouragent les ex-clandestins de cette forêt classée à abandonner cette voie. « Ceux qui sont sortis le sont pour de bon», a-t-il insisté, et de rappeler que la sensibilisation a été suffisamment faite.
Ibrahima Cissé a exhorté les chefs de village et de communautés religieuses ainsi que les présidents de jeunes à faire en sorte que cela soit compris par tous et par chacun.
« La Côte d’Ivoire est suffisamment vaste, il y a des terres partout ; la Côte d’Ivoire est suffisamment riche, vous pouvez avoir des opportunités partout où vous voulez pour mener vos activités économiques. Vous n’avez pas à vous accrocher au mont Peko », a-t-il laissé entendre.
« Ne rêvez pas, n’écoutez pas les vendeurs d’illusions qui vous font croire qu’il est possible de revenir dans le mont Peko», a-t-il prévenu. A ce sujet, il a précisé que d’importants financements sont attendus pour permettre au mont Peko de jouer véritablement son rôle dans l’écosystème ivoirien.
Le préfet prévient ceux qui encouragent les ex-clandestins de cette forêt classée à abandonner cette voie. « Ceux qui sont sortis le sont pour de bon», a-t-il insisté, et de rappeler que la sensibilisation a été suffisamment faite.
Ibrahima Cissé a exhorté les chefs de village et de communautés religieuses ainsi que les présidents de jeunes à faire en sorte que cela soit compris par tous et par chacun.
« La Côte d’Ivoire est suffisamment vaste, il y a des terres partout ; la Côte d’Ivoire est suffisamment riche, vous pouvez avoir des opportunités partout où vous voulez pour mener vos activités économiques. Vous n’avez pas à vous accrocher au mont Peko », a-t-il laissé entendre.