Daoukro : Inondation au quartier Chicago
La forte pluie qui s'est abattue sur Daoukro, dans la nuit du 8 au 9 avril, a entraîné des inondations. Les 22 familles du quartier Chicago extension ont dû leur salut grâce à la promptitude de la police et des pompiers civils.
Le préfet de région, préfet du département de Daoukro, Aka Julie, accompagné du président du Conseil régional, Traoré Adam Kolia, du député Akoto Oliver et du 2e adjoint au maire Konan Évariste, s'est rendu sur les lieux le jeudi 9 avril, pour constater les dégâts.
Elle a demandé à ses collaborateurs de convoquer une réunion dans les prochains jours, avec les chefs de famille, en vue de trouver une solution définitive, afin d’éviter le pire. Car, il s’agit des mêmes familles sinistrées qui, vivant dans une zone à risque, n’avaient pas bougé.
Leur porte-parole, Sangaré Ibrahim, ressasse qu'ils ont toujours vécu dans ce quartier depuis une dizaine d'années sans connaître d'inondations, sauf ces deux dernières années. Selon lui, des solutions consensuelles n’ont pas été trouvées avec la mairie après les inondations de l'an passé.
C‘est pourquoi, les habitants dudit quartier sont restés en place à leurs risques et périls. Le 2e adjoint au maire Konan Évariste a déclaré, pour sa part, que la mairie n'a pas viabilisé ce quartier à risque. Car, elle n'a aucune responsabilité dans son lotissement. Et que la solution est de quitter cet endroit. Outre Chicago extension, les quartiers de Gagou et Sossorobougou ont vu plusieurs de leurs concessions envahies par l'eau. Des maisons se sont même effondrées. Les populations appellent au secours.
Le quartier Sossorobougou est situé à proximité du canal, qui conduit l'eau usée de la ville, vers le barrage de la Sethao. Ce canal étant bouché, l'eau de pluie s'est donc invitée dans leurs domiciles. C'est en cela qu'un appel a été lancé à l'État par le député Akoto Oliver.
"Il faut la compétence de l'État à travers l'Onad, pour curer ce canal. Les collectivités locales, particulièrement la mairie, n'ont pas le budget colossal qu'il faut pour réaliser ce travail. Nous sollicitons l'aide de l'État, pour sauver nos populations", a t-il souhaité.
Elle a demandé à ses collaborateurs de convoquer une réunion dans les prochains jours, avec les chefs de famille, en vue de trouver une solution définitive, afin d’éviter le pire. Car, il s’agit des mêmes familles sinistrées qui, vivant dans une zone à risque, n’avaient pas bougé.
Leur porte-parole, Sangaré Ibrahim, ressasse qu'ils ont toujours vécu dans ce quartier depuis une dizaine d'années sans connaître d'inondations, sauf ces deux dernières années. Selon lui, des solutions consensuelles n’ont pas été trouvées avec la mairie après les inondations de l'an passé.
C‘est pourquoi, les habitants dudit quartier sont restés en place à leurs risques et périls. Le 2e adjoint au maire Konan Évariste a déclaré, pour sa part, que la mairie n'a pas viabilisé ce quartier à risque. Car, elle n'a aucune responsabilité dans son lotissement. Et que la solution est de quitter cet endroit. Outre Chicago extension, les quartiers de Gagou et Sossorobougou ont vu plusieurs de leurs concessions envahies par l'eau. Des maisons se sont même effondrées. Les populations appellent au secours.
Le quartier Sossorobougou est situé à proximité du canal, qui conduit l'eau usée de la ville, vers le barrage de la Sethao. Ce canal étant bouché, l'eau de pluie s'est donc invitée dans leurs domiciles. C'est en cela qu'un appel a été lancé à l'État par le député Akoto Oliver.
"Il faut la compétence de l'État à travers l'Onad, pour curer ce canal. Les collectivités locales, particulièrement la mairie, n'ont pas le budget colossal qu'il faut pour réaliser ce travail. Nous sollicitons l'aide de l'État, pour sauver nos populations", a t-il souhaité.