Avant l'élection à la Fif : Comment les groupements d’intérêt s’organisent
Quatre-vingt-et-un clubs et groupements d’intérêt prendront part à l’élection du président de la Fif dont la date du scrutin n’a pas encore été fixée. Sur le terrain, les trois candidats poursuivent leurs consultations. Si les clubs représentent l’électorat le plus important, les groupements d’intérêt ne sont pas moins des voix importantes. En témoigne la tension qui prévaut au sein de ces groupements.
Il s’agit de l’Association des anciens joueurs ; l’Association des joueurs en activité ; l’Association des entraîneurs et autres encadreurs techniques ; l’Association des médecins du football et l’Association des arbitres du football. Au niveau de l’association des anciens joueurs, les débats sont plus houleux à cause des positions assez tranchées au niveau des membres.
Pour éviter de s’afficher négativement, les uns et les autres s’organisent. En l’absence du président Alain Gouaméné, les autres membres de l’association des anciens footballeurs poursuivent les activités et ont déjà été reçus par les différents candidats. Il reste maintenant à s’accorder sur le choix définitif.
Pour Koné Ibrahim, l’ancien international ivoirien et joueur de l’Africa Sports, le choix du candidat de l’association des anciens joueurs selon ce que prévoient les textes qui régissent l’association. « Il existe un bureau exécutif composé de 14 membres dont le président Alain Gouaméné.
Ce bureau se réunira et à l’issue d’un vote, le choix de la majorité sera le choix de l’association. Chacun de nous peut afficher sa position mais notre choix se fera au sein du bureau exécutif », a précisé Koné Ibrahim.
Kaé Oulaï est, lui, le président de l’association des entraîneurs et autres encadreurs techniques. Il affirme qu’au sein de l’association qu’il dirige, tout sera mis en œuvre pour que le choix soit démocratique. « Nous avons été reçus par les trois candidats. Le secrétaire général se chargera de faire le point sur les différentes rencontres aux différents représentants de l’association par commune. Le bureau exécutif va ensuite se réunir pour trancher », a-t-il déclaré.
Au niveau de l’association des médecins du football dirigée par le professeur Dah Cyrille, la tension est inexistante. Selon le docteur Toolys, l’adjoint du professeur Dah Cyrille, le président demande l’avis de ses collaborateurs, mais la décision finale lui revient. Il a indiqué par ailleurs qu’à l’instar des autres groupements d’intérêt, les médecins du football ont également été reçus par les candidats qu’ils ont écoutés religieusement.
Quant à Souleymane Coulibaly, président de l’amicale des arbitres de football, il a indiqué qu’un appel à la sérénité a été lancé à ses membres. « Nous avons échangé avec certains de nos membres sur la question, au téléphone, compte tenu de la situation. Nous avons souhaité et recommandé que nous ne tombions pas dans des querelles comme cela se passe ailleurs dans d’autres associations. Nous devons être unis pour pouvoir avancer. L’Amafci reste une et indivisible », a-t-il déclaré. Par rapport au mode opératoire pour le choix du candidat, Souleymane Coulibaly a été précis sur la question.
« Nous nous concerterons d’abord avant de prendre une décision. Nous allons convoquer une réunion entre les membres du bureau et les président des Cra et voir la conduite à tenir. Nous retiendrons ce que nos mandants nous diront. Nous n’allons pas nous prévaloir de notre titre de président pour imposer notre choix à la majorité », a-t-il ajouté.
Enfin, Cyril Domoraud, le président de l’Association des footballeurs ivoiriens que nous avons joint, a indiqué que le moment n’était pas choisi pour l’instant pour débattre de la question. « Avec la pandémie du Covid-19, nul ne sait quand auront lieu les élections du nouveau président de la Fif. Autrement dit, à l’heure actuelle, les efforts de l’Afi se concentrent sur la situation des joueurs ivoiriens qui subissent de plein fouet les effets collatéraux de cette crise sanitaire. Nous travaillons à les accompagner, à les soutenir et à les aider à traverser ces moments très difficiles. C’est ça notre priorité actuellement. Le moment venu, on parlera des élections », a-t-il répondu.
Mais selon l’un des membres du bureau de l’Afi , les joueurs qui sont les syndiqués devaient être logiquement consultés avant le choix.
Pour éviter de s’afficher négativement, les uns et les autres s’organisent. En l’absence du président Alain Gouaméné, les autres membres de l’association des anciens footballeurs poursuivent les activités et ont déjà été reçus par les différents candidats. Il reste maintenant à s’accorder sur le choix définitif.
Pour Koné Ibrahim, l’ancien international ivoirien et joueur de l’Africa Sports, le choix du candidat de l’association des anciens joueurs selon ce que prévoient les textes qui régissent l’association. « Il existe un bureau exécutif composé de 14 membres dont le président Alain Gouaméné.
Ce bureau se réunira et à l’issue d’un vote, le choix de la majorité sera le choix de l’association. Chacun de nous peut afficher sa position mais notre choix se fera au sein du bureau exécutif », a précisé Koné Ibrahim.
Kaé Oulaï est, lui, le président de l’association des entraîneurs et autres encadreurs techniques. Il affirme qu’au sein de l’association qu’il dirige, tout sera mis en œuvre pour que le choix soit démocratique. « Nous avons été reçus par les trois candidats. Le secrétaire général se chargera de faire le point sur les différentes rencontres aux différents représentants de l’association par commune. Le bureau exécutif va ensuite se réunir pour trancher », a-t-il déclaré.
Au niveau de l’association des médecins du football dirigée par le professeur Dah Cyrille, la tension est inexistante. Selon le docteur Toolys, l’adjoint du professeur Dah Cyrille, le président demande l’avis de ses collaborateurs, mais la décision finale lui revient. Il a indiqué par ailleurs qu’à l’instar des autres groupements d’intérêt, les médecins du football ont également été reçus par les candidats qu’ils ont écoutés religieusement.
Quant à Souleymane Coulibaly, président de l’amicale des arbitres de football, il a indiqué qu’un appel à la sérénité a été lancé à ses membres. « Nous avons échangé avec certains de nos membres sur la question, au téléphone, compte tenu de la situation. Nous avons souhaité et recommandé que nous ne tombions pas dans des querelles comme cela se passe ailleurs dans d’autres associations. Nous devons être unis pour pouvoir avancer. L’Amafci reste une et indivisible », a-t-il déclaré. Par rapport au mode opératoire pour le choix du candidat, Souleymane Coulibaly a été précis sur la question.
« Nous nous concerterons d’abord avant de prendre une décision. Nous allons convoquer une réunion entre les membres du bureau et les président des Cra et voir la conduite à tenir. Nous retiendrons ce que nos mandants nous diront. Nous n’allons pas nous prévaloir de notre titre de président pour imposer notre choix à la majorité », a-t-il ajouté.
Enfin, Cyril Domoraud, le président de l’Association des footballeurs ivoiriens que nous avons joint, a indiqué que le moment n’était pas choisi pour l’instant pour débattre de la question. « Avec la pandémie du Covid-19, nul ne sait quand auront lieu les élections du nouveau président de la Fif. Autrement dit, à l’heure actuelle, les efforts de l’Afi se concentrent sur la situation des joueurs ivoiriens qui subissent de plein fouet les effets collatéraux de cette crise sanitaire. Nous travaillons à les accompagner, à les soutenir et à les aider à traverser ces moments très difficiles. C’est ça notre priorité actuellement. Le moment venu, on parlera des élections », a-t-il répondu.
Mais selon l’un des membres du bureau de l’Afi , les joueurs qui sont les syndiqués devaient être logiquement consultés avant le choix.