Lutte contre le COVID-19: Le député Doh Simon fait une suggestion au gouvernement
Le député de Bangolo sous-préfecture, Doh Simon, a sillonné depuis le samedi 18 avril 2020 une dizaine de villages de la circonscription afin de sensibiliser les populations au respect des mesures barrières à la propagation du COVID-19.
Face à la psychose généralisée qui prévaut, dans ce contexte où les rumeurs peuvent causer des dégâts énormes, l’honorable a appelé le gouvernement à aller vers les populations pour les mobiliser contre la pandémie. Partout où il est passé, Doh Simon a dit aux populations que cette maladie n'est pas une affaire de parti politique.
Selon lui, il n’est pas encore tard pour rectifier le tir. C’est pourquoi il suggère au gouvernement d’envoyer l’ensemble des élus – donc sans distinction de partis politiques - en mission sur le terrain, à la rencontre des populations pour les informer et les sensibiliser. « Pendant que l’intérieur du pays n’est pas encore vraiment touché, c’est le moment d’anticiper », a insisté le député Doh Simon.
Son premier message aux populations, lors de son périple, a porté sur la gravité de la crise sanitaire et les mesures de prévention pour éviter la maladie. Il leur a fait comprendre que personne ne devrait rester en marge de ce combat. Dans les villages de la circonscription, un comité de lutte a ainsi été institué, placé sous la direction du chef de village qui doit mettre en application les instructions du sous-préfet.
« C’est une menace grave qui peut coûter la vie à plusieurs d’entre nous et donc affaiblir le potentiel humain de notre pays. », a martelé le député, indigné par l'incrédulité de certains villageois qui ne croyaient pas jusque-là à l'existence de la maladie.
Le deuxième volet du message de l’honorable Doh Simon a consisté à mettre en garde ses parents contre les rumeurs qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses. A l’image de ce qui s’est passé à Bangolo où des jeunes ont empêché un camion de la Nouvelle pharmacie de la santé publique (Npsp) de livrer des lots de médicaments à l’hôpital de la ville et ont manqué de le saccager.
A l’origine, une information fausse diffusée sur les réseaux sociaux faisant état de la présence d’un vaccin contre le COVID-19 dans les lots de médicaments. Si une information tendancieuse leur parvient, a conseillé le député, les populations doivent tenir informé le chef du village qui se référera automatiquement au sous-préfet. Cela pourrait éviter des situations fâcheuses, a-t-il insisté.
Selon lui, il n’est pas encore tard pour rectifier le tir. C’est pourquoi il suggère au gouvernement d’envoyer l’ensemble des élus – donc sans distinction de partis politiques - en mission sur le terrain, à la rencontre des populations pour les informer et les sensibiliser. « Pendant que l’intérieur du pays n’est pas encore vraiment touché, c’est le moment d’anticiper », a insisté le député Doh Simon.
Son premier message aux populations, lors de son périple, a porté sur la gravité de la crise sanitaire et les mesures de prévention pour éviter la maladie. Il leur a fait comprendre que personne ne devrait rester en marge de ce combat. Dans les villages de la circonscription, un comité de lutte a ainsi été institué, placé sous la direction du chef de village qui doit mettre en application les instructions du sous-préfet.
« C’est une menace grave qui peut coûter la vie à plusieurs d’entre nous et donc affaiblir le potentiel humain de notre pays. », a martelé le député, indigné par l'incrédulité de certains villageois qui ne croyaient pas jusque-là à l'existence de la maladie.
Le deuxième volet du message de l’honorable Doh Simon a consisté à mettre en garde ses parents contre les rumeurs qui peuvent avoir des conséquences fâcheuses. A l’image de ce qui s’est passé à Bangolo où des jeunes ont empêché un camion de la Nouvelle pharmacie de la santé publique (Npsp) de livrer des lots de médicaments à l’hôpital de la ville et ont manqué de le saccager.
A l’origine, une information fausse diffusée sur les réseaux sociaux faisant état de la présence d’un vaccin contre le COVID-19 dans les lots de médicaments. Si une information tendancieuse leur parvient, a conseillé le député, les populations doivent tenir informé le chef du village qui se référera automatiquement au sous-préfet. Cela pourrait éviter des situations fâcheuses, a-t-il insisté.