Le complexe attend d’être remis officiellement à ses utilisateurs. (DR)
Taekwondo : Le Centre sportif, culturel et des tic Alassane Ouattara, opérationnel
Le Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara est prêt depuis le mois de février. L’on attend juste que le virus du Covid-19 soit vaincu pour l’inaugurer. On comprend donc la joie des Taekwondo-in. Ils sont impatients d’y entrer.
C’est leur nouveau temple. Ils l’ont démarché auprès des Coréens et l’ont obtenu. Il s’agit bien d’un palais du taekwondo «habillé» en centre sportif, culturel et des Tic par l’Agence coréenne de coopération internationale (Koica). La République de Corée a accepté d’investir dans un tel édifice sur les bords de la lagune Ebrié.
D’où le combat mené par le président Bamba Cheick Daniel pour faire en sorte que cet art martial dont il est le premier responsable en Côte d’Ivoire puisse en jouir pleinement. « Mon rôle, en tant que président de la Fédération ivoirienne de taekwondo, est de veiller à ce que les intérêts du taekwondo ivoirien soient pris en compte dans la gestion de ce centre qui porte le prestigieux nom du Chef de l’État », a précisé le président Bamba Cheick Daniel.
Un important atelier de validation d’un plan d’affaires de ce centre a eu lieu fin février dernier, dans un hôtel de la place. La Fédération, la Primature et tous les ministères techniques concernés par cet édifice ont planché sur ce plan d’affaires proposé par le Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd). En attendant la validation de ce plan, le patron du dojan national veille au grain.
Bamba Cheick Daniel qui avait rêvé de ce centre avant-même d’être président de la Fitkd ne cesse de remercier la Koica, le gouvernement coréen, l’État de Côte d’Ivoire et le Chef de l’État, Alassane Ouattara, pour avoir permis la réalisation de ce projet.
Le père du taekwondo moderne en Côte d’Ivoire appelle toute la communauté nationale de taekwondo à respecter les mesures barrières pour éviter d’attraper le Covid-19. Car il faut vivre pour pouvoir faire la fête dans ce joyau offert par la Corée.
D’où le combat mené par le président Bamba Cheick Daniel pour faire en sorte que cet art martial dont il est le premier responsable en Côte d’Ivoire puisse en jouir pleinement. « Mon rôle, en tant que président de la Fédération ivoirienne de taekwondo, est de veiller à ce que les intérêts du taekwondo ivoirien soient pris en compte dans la gestion de ce centre qui porte le prestigieux nom du Chef de l’État », a précisé le président Bamba Cheick Daniel.
Un important atelier de validation d’un plan d’affaires de ce centre a eu lieu fin février dernier, dans un hôtel de la place. La Fédération, la Primature et tous les ministères techniques concernés par cet édifice ont planché sur ce plan d’affaires proposé par le Bureau national d’études techniques et de développement (Bnetd). En attendant la validation de ce plan, le patron du dojan national veille au grain.
Bamba Cheick Daniel qui avait rêvé de ce centre avant-même d’être président de la Fitkd ne cesse de remercier la Koica, le gouvernement coréen, l’État de Côte d’Ivoire et le Chef de l’État, Alassane Ouattara, pour avoir permis la réalisation de ce projet.
Le père du taekwondo moderne en Côte d’Ivoire appelle toute la communauté nationale de taekwondo à respecter les mesures barrières pour éviter d’attraper le Covid-19. Car il faut vivre pour pouvoir faire la fête dans ce joyau offert par la Corée.