Fête du travail: Bédié invite les Ivoiriens à «un engagement solidaire dans la lutte collective contre le Covid-19»

Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda. (DR)
Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda. (DR)
Henri Konan Bédié, président du Pdci-Rda. (DR)

Fête du travail: Bédié invite les Ivoiriens à «un engagement solidaire dans la lutte collective contre le Covid-19»

Le 01/05/20 à 12:24
modifié 01/05/20 à 13:00
A l’instar du monde entier, la Côte d’Ivoire célèbre ce vendredi 1er mai 2020, la fête du travail marquée cette année par la pandémie à coronavirus (Covid-19).

Face à l’angoisse et la peur engendrées par cette pandémie, le président du Parti démocratique de Côte d’Ivoire (Pdci-Rda), Henri Konan Bédié, dans une note, invite « les Ivoiriens et Ivoiriennes à un engagement solidaire dans la lutte collective contre la pandémie du Covid-19 pour réussir notre retour à une vie sociale, économique et politique paisible et démocratique. »

Pour venir à bout de cette pandémie, le Sphinx de Daoukro estime qu’il faut respecter scrupuleusement toutes les mesures barrières rendues publiques, à ce jour, et les restrictions de liberté, tel que le confinement. C’est pourquoi il invite « le gouvernement à améliorer le cadre et les conditions de travail dans le secteur public et à accroître les mesures sécuritaires dans les autres secteurs d’activités pour réduire les risques de contamination sur les lieux de travail ».

Par ailleurs, le président du Pdci-Rda présente un prompt rétablissement aux travailleurs et travailleuses de Côte d’Ivoire affectés par cette pandémie et toute sa compassion à ceux ayant perdu un proche. En outre, il encourage le personnel de santé et les forces de défense et de sécurité qui font preuve d’esprit citoyen en œuvrant, chaque jour conjointement, à freiner la propagation de cette pandémie dans les zones hors du Grand Abidjan.

« J’adresse, également, mes vifs et chaleureux soutiens aux travailleurs et travailleuses du secteur informel qui connaissent une perte de revenus, non compensée, à ce jour, par un revenu de substitution, en raison d’une baisse ou d’un arrêt d’activités découlant des mesures prises par le gouvernement », a conclu Henri Konan Bédié.


Le 01/05/20 à 12:24
modifié 01/05/20 à 13:00