Élection à la Fif/Goua Marc (capitaine Sporting Gagnoa): « La voix des joueurs ne porte malheureusement pas »
L’actualité dominante du football ivoirien, c’est la course à la présidence de la Fif. Quel est votre regard sur la pré-campagne ?
C’est surtout sur les réseaux sociaux que nous suivons ce qui se passe. Personnellement, cela ne me dit pas grande chose parce que cela ne m’intéresse pas. La voix des joueurs ne porte malheureusement pas. Nous n’avons pas de décision à prendre parce que nous ne votons pas. Nous subissons donc les décisions. C’est certainement ce qui pousse certains parmi nous à se servir des réseaux sociaux pour dénoncer certaines choses. Ce que je ne partage pas d’ailleurs. Il faut souvent de la sagesse face à certaines situations. Si les joueurs avaient le droit de décision, j’allais pouvoir m’exprimer de façon claire sur cette élection. Je suis donc l’actualité comme tout le monde et j’attends le président qui sera élu pour continuer de jouer.
Comment préparez-vous la reprise du championnat ?
Chacun a un programme à suivre chez lui à la maison. Ce sont de petits exercices de musculation et de renforcement pour pouvoir garder la forme et attendre la reprise qui sera annoncée peut-être dans peu de temps.
L’Afi a offert récemment des bons aux clubs. Comment appréciez-vous ce geste ?
C’est un geste qu’il faut saluer dans ces moments un peu difficiles pour les clubs. Les soutenir fait beaucoup de bien et cela permettra de soulager quelques familles de joueurs que nous sommes.
Êtes-vous d’accord avec la décision de réduire les salaires de moitié des joueurs dans cette période difficile ?
C’est une situation qui prévaut partout dans le monde. C’est une décision raisonnable. Mais ce que je voulais souligner c’est que dans certains pays européens, la décision a été prise après des discussions entre les présidents de clubs et leurs joueurs. Ici malheureusement, cela n’a pas été le cas car la décision a été prise par la fédération après des échanges avec l’Afi. C’est une décision que nous respectons parce que c’est l’instance supérieure. Mais il existe également des présidents de clubs de bonne volonté et qui ont les moyens de payer la totalité des salaires de leurs joueurs. Les réalités ne sont pas les mêmes dans tous les clubs, mais comme c’est une décision qui a été prise face à une situation exceptionnelle, nous nous alignons là-dessus.
Comment préparez-vous la reprise du championnat ?
Chacun a un programme à suivre chez lui à la maison. Ce sont de petits exercices de musculation et de renforcement pour pouvoir garder la forme et attendre la reprise qui sera annoncée peut-être dans peu de temps.
L’Afi a offert récemment des bons aux clubs. Comment appréciez-vous ce geste ?
C’est un geste qu’il faut saluer dans ces moments un peu difficiles pour les clubs. Les soutenir fait beaucoup de bien et cela permettra de soulager quelques familles de joueurs que nous sommes.
Êtes-vous d’accord avec la décision de réduire les salaires de moitié des joueurs dans cette période difficile ?
C’est une situation qui prévaut partout dans le monde. C’est une décision raisonnable. Mais ce que je voulais souligner c’est que dans certains pays européens, la décision a été prise après des discussions entre les présidents de clubs et leurs joueurs. Ici malheureusement, cela n’a pas été le cas car la décision a été prise par la fédération après des échanges avec l’Afi. C’est une décision que nous respectons parce que c’est l’instance supérieure. Mais il existe également des présidents de clubs de bonne volonté et qui ont les moyens de payer la totalité des salaires de leurs joueurs. Les réalités ne sont pas les mêmes dans tous les clubs, mais comme c’est une décision qui a été prise face à une situation exceptionnelle, nous nous alignons là-dessus.