La ville d'Abidjan reste isolée de l'interieur du pays. (DR)
Lutte contre la maladie à coronavirus : L’isolement du Grand Abidjan reste en vigueur
Maintien de l’isolement du Grand Abidjan. État d’urgence en vigueur. Bars, boîtes de nuit, cinéma et lieux de spectacle toujours clos. Frontières terrestres, maritimes et aériennes maintenues fermées. Ce sont les grandes décisions du Conseil national de sécurité, présidé par le Président Alassane Ouattara, qui s’est tenu, hier, au Palais présidentiel. Elles seront en vigueur jusqu’au 14 juin.
Les décisions de prorogation de ces mesures de restriction ont été prises pour contenir et mettre fin à la propagation du virus dans les autres villes de la Côte d’Ivoire. Ces mesures, les dernières, seront levées lorsque que la situation serait propice.
Le 7 mai, après avoir constaté que la stratégie mise en place fonctionnait, le Chef de l’État avait levé toutes les mesures restrictives pour l’intérieur du pays. Plus de couvre-feu, réouverture des établissements d’enseignement préscolaire, primaire, secondaire et supérieur, reprise des activités des restaurants, maquis, bars, boîtes de nuit, cinémas et lieux de spectacles. A cela, il faut ajouter l’autorisation de réaménagement des mesures de restriction de rassemblement de population, initialement plafonné à 50 personnes, qui est passé à 200.
Ces mêmes décisions seront prises une semaine plus tard pour le Grand-Abidjan. Restait donc, le maintien de l’isolement, la fermeture des bars, boîtes de nuit, cinémas et lieux de spectacle, la fermeture de toutes les frontières.
Outre les questions liées à la lutte contre le coronavirus, le Conseil national de sécurité a aussi examiné la situation sécuritaire national. Probablement que l’opération ‘’Comoé 2020’’ a été évoquée au cours de cette rencontre.
Planifiée depuis le mois de février 2020, l’opération de sécurisation de la bande frontalière commune baptisée ‘’Comoé 2020’’ a été lancée conjointement le 11 mai sur les quelques 580 km de frontière terrestre que se partagent la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Cette opération visait à endiguer dans cette zone couverte de forêts, les trafics illicites, les braquages à main armée mais surtout l’action des Groupes Armées Terroristes (Gat).
Les deux armées ont mutualisé, à cet effet, leurs compétences et leurs moyens techniques et personnels. Une base terroriste a été démantelée en territoire burkinabé, huit combattants armés des Gat tués, des armements, munitions, équipements informatiques, téléphones portables et motocyclettes saisis.
Environ 24 suspects interpellés par les forces burkinabè et 14 par les forces ivoiriennes, ont été mis à la disposition des services de renseignements.
Le 7 mai, après avoir constaté que la stratégie mise en place fonctionnait, le Chef de l’État avait levé toutes les mesures restrictives pour l’intérieur du pays. Plus de couvre-feu, réouverture des établissements d’enseignement préscolaire, primaire, secondaire et supérieur, reprise des activités des restaurants, maquis, bars, boîtes de nuit, cinémas et lieux de spectacles. A cela, il faut ajouter l’autorisation de réaménagement des mesures de restriction de rassemblement de population, initialement plafonné à 50 personnes, qui est passé à 200.
Ces mêmes décisions seront prises une semaine plus tard pour le Grand-Abidjan. Restait donc, le maintien de l’isolement, la fermeture des bars, boîtes de nuit, cinémas et lieux de spectacle, la fermeture de toutes les frontières.
Outre les questions liées à la lutte contre le coronavirus, le Conseil national de sécurité a aussi examiné la situation sécuritaire national. Probablement que l’opération ‘’Comoé 2020’’ a été évoquée au cours de cette rencontre.
Planifiée depuis le mois de février 2020, l’opération de sécurisation de la bande frontalière commune baptisée ‘’Comoé 2020’’ a été lancée conjointement le 11 mai sur les quelques 580 km de frontière terrestre que se partagent la Côte d’Ivoire et le Burkina Faso. Cette opération visait à endiguer dans cette zone couverte de forêts, les trafics illicites, les braquages à main armée mais surtout l’action des Groupes Armées Terroristes (Gat).
Les deux armées ont mutualisé, à cet effet, leurs compétences et leurs moyens techniques et personnels. Une base terroriste a été démantelée en territoire burkinabé, huit combattants armés des Gat tués, des armements, munitions, équipements informatiques, téléphones portables et motocyclettes saisis.
Environ 24 suspects interpellés par les forces burkinabè et 14 par les forces ivoiriennes, ont été mis à la disposition des services de renseignements.