Enfants en conflit avec la loi: 1 400 personnes resocialisées grâce à la cellule de coordination, de suivi de réinsertion
La Cellule de Coordination, de suivi de Réinsertion (CCSR), organisme sous tutelle du Conseil National de Sécurité (CNS), a annoncé le mercredi 17 juin 2020 à Abidjan, avoir resocialisé plus de 1 400 mineurs, adolescents et jeunes en conflit avec la loi.
La coordinatrice par intérim du CCSR, Manignan Ouattara, a fait savoir que ces jeunes ont été resocialisés et réinsérés, pour certains dans les différents corps de métiers (menuiserie, la couture, la mécanique-auto, la soudure, la plomberie, l’électricité-bâtiments, l’agropastoral) et d’autres par le retour à l’école.
« La CCSR a été chargée de mettre en œuvre un projet national en vue de combattre le phénomène des enfants en conflit avec la loi partout en Côte d’Ivoire. Cette cellule travaille à préserver la sécurité des populations, procède à la resocialisation et à la réinsertion socio-éducative et professionnelle de ces enfants », a confié Manignan Ouattara.
Ces enfants, provenant des villes d’Abidjan, Bouaké, Gagnoa, Daloa, Man, Odienné et San Pedro, ont été resocialisés au centre de M’Bahiakro, de septembre 2016 à juin 2018, date de la fin du projet, a expliqué la coordinatrice par intérim de la CCSR.
Selon le directeur général de police, Youssouf Kouyaté, c’est l'étroite collaboration entre la Police et la CCSR qui a permis d’atteindre ces résultats. Il a assuré que la police maintiendra le cap afin de résorber les poches résiduelles d’insécurité.
« La CCSR a été chargée de mettre en œuvre un projet national en vue de combattre le phénomène des enfants en conflit avec la loi partout en Côte d’Ivoire. Cette cellule travaille à préserver la sécurité des populations, procède à la resocialisation et à la réinsertion socio-éducative et professionnelle de ces enfants », a confié Manignan Ouattara.
Ces enfants, provenant des villes d’Abidjan, Bouaké, Gagnoa, Daloa, Man, Odienné et San Pedro, ont été resocialisés au centre de M’Bahiakro, de septembre 2016 à juin 2018, date de la fin du projet, a expliqué la coordinatrice par intérim de la CCSR.
Selon le directeur général de police, Youssouf Kouyaté, c’est l'étroite collaboration entre la Police et la CCSR qui a permis d’atteindre ces résultats. Il a assuré que la police maintiendra le cap afin de résorber les poches résiduelles d’insécurité.