Joseph Biley, chef du projet School program
Joseph Biley (chef du projet School program): «Nous comptons initier entre 200 et 300 élèves à l’équitation»
Pouvez-vous nous expliquer le partenariat entre la Fédération ivoirienne d’équitation et l’Office ivoirien des sports scolaires et universitaires ?
Il s’agit d’un projet cher à la Fédération ivoirienne d’équitation. Depuis son élection à la tête de la discipline, le président Stéphane Ouégnin s’est assigné trois missions : le rayonnement de la Côte d’Ivoire à l’extérieur, rendre populaire la pratique de l’équitation dans le pays et surtout la formation des acteurs à tous les niveaux. Il considère que cette discipline est encore nouvelle dans le pays et donc qu’il faut former davantage de personnes qui en connaissent les règles. Ainsi, en accord avec la Fei, il a retenu trois projets majeurs. Premièrement, la formation des arbitres et membres du jury. Une vingtaine d'officiels seront formés cette année et ces derniers pourront, à leur tour, former d’autres techniciens sur place. Ensuite, il y a le corps des palefreniers (ceux qui s’occupent de l’entretien des chevaux) et l’initiation des élèves et étudiants. C’est justement dans le cadre de l’implantation de l’équitation en milieu scolaire que nous sollicitons l’Office ivoirien des sports scolaires et universitaires (Oissu).
De quoi s’agit-il exactement ?
Il s’agit d’un programme que nous avons mis en place à partir du projet « Fei Solidarity » qui consiste à inciter les jeunes en milieu scolaire à la pratique de l’équitation. Ce projet nous a été soumis par la Fédération internationale afin d’obtenir un appui structurel. Cela consiste à accompagner entre deux cent et trois cents enfants dans la tranche d’âge de 9 à 12 ans. Leur permettre de se familiariser avec le cheval et leur faire connaître ce sport.
Qu’attendez-vous concrètement de cette organisation publique nationale dans la réalisation de ce projet?
Il est de notoriété publique qu’en Côte d’Ivoire, l’Oissu est l’organisme chargé de l’organisation de l’activité sportive en milieu scolaire et universitaire. Cette structure couvre le territoire national dans sa plus grande partie. C’est donc face à cette réalité du terrain que nous l’avons approché pour nous accompagner. L’Oissu va donc se charger de la partie opérationnelle. C’est-à-dire, recruter les enfants à travers les différentes institutions scolaires sur toute l’étendue du territoire et les rassembler à Abidjan où des experts venus de l’étranger vont assurer leur initiation. La Fédération, elle, se chargera de leur donner les outils nécessaires pour mener à bien le programme.
De quoi s’agit-il exactement ?
Il s’agit d’un programme que nous avons mis en place à partir du projet « Fei Solidarity » qui consiste à inciter les jeunes en milieu scolaire à la pratique de l’équitation. Ce projet nous a été soumis par la Fédération internationale afin d’obtenir un appui structurel. Cela consiste à accompagner entre deux cent et trois cents enfants dans la tranche d’âge de 9 à 12 ans. Leur permettre de se familiariser avec le cheval et leur faire connaître ce sport.
Qu’attendez-vous concrètement de cette organisation publique nationale dans la réalisation de ce projet?
Il est de notoriété publique qu’en Côte d’Ivoire, l’Oissu est l’organisme chargé de l’organisation de l’activité sportive en milieu scolaire et universitaire. Cette structure couvre le territoire national dans sa plus grande partie. C’est donc face à cette réalité du terrain que nous l’avons approché pour nous accompagner. L’Oissu va donc se charger de la partie opérationnelle. C’est-à-dire, recruter les enfants à travers les différentes institutions scolaires sur toute l’étendue du territoire et les rassembler à Abidjan où des experts venus de l’étranger vont assurer leur initiation. La Fédération, elle, se chargera de leur donner les outils nécessaires pour mener à bien le programme.