Investissements privés : Une augmentation de 26% par rapport à l’année dernière
Malgré la Covid-19, les investissements privés ne se sont pas arrêtés en Côte d’Ivoire. Mieux, ils sont en augmentation par rapport à l’année dernière à la même période. C’est ce qu’a indiqué le vendredi 26 juin, Emmanuel Essis Esmel, ministre auprès du Premier ministre chargé de la promotion de l’investissement privé qui a effectué une visite dans la zone industrielle de Pk24 (autoroute du nord). « Si je me réfère aux chiffres du Cepici, à fin mai, nous sommes à plus de 26% par rapport à l’année dernière », a révélé le ministre.
Pour lui, même si la crise sanitaire actuelle et les élections à venir rendent certains investisseurs fébriles, l’espoir est permis. L’économie ivoirienne étant, a-t-il insisté, résiliente.
D’ailleurs, « un investisseur qui a peur des troubles d’octobre ne viendra pas investir en Janvier, février, mars, c’est-à-dire, 6 ou 8 mois avant les élections...Les investisseurs continuent de faire confiance à l’économie ivoirienne qui a beaucoup de potentialités », s’est réjoui le Directeur général du Cepici qui n’a d’ailleurs pas manqué de souligner que, dans ses projections de croissance pour l’année 2021, la Banque mondiale table sur un taux de 7% pour la Côte d’Ivoire.
Un argument de poids pour Emmanuel Essis Esmel qui a exhorté les deux entreprises (Brassivoire et Mipa) visitées à continuer à faire confiance à la Côte d’Ivoire et à ses dirigeants.
En effet, se réjouissant du maintien de la totalité de son personnel malgré la crise sanitaire qui a fait chuter ses activités de près de 40%, l’émissaire du gouvernement a salué et félicité les dirigeants de la première. Installée en 2015, la brasserie a doublé sa capacité de production en deux ans, la faisant passer d’environ 700.000 hectolitres à 1,5 million d’hectolitres en 2017.
Quant à la seconde, spécialisée dans la fabrication et la distribution de plusieurs produits en Afrique de l’Ouest, elle a diversifié ses offres et prévoit malgré la crise sanitaire, de réaliser d’autres investissements à moyen et long terme. Laurent Théodore et Parodat Fabrice, directeur généraux respectifs de ces entreprises industrielles ont salué la visite du ministre et présenté quelques doléances, à propos desquelles, ce dernier a dit vouloir apporter des réponses, conformément aux différents dispositifs mis en place par le gouvernement dans le cadre du plan de soutien à l’activité économique.
A noter que, cette visite fait partie d’une série initiée par le Cepici en vue de s’enquérir de l’état de santé des entreprises, notamment celles bénéficiant des avantages liés au code des investissements.
D’ailleurs, « un investisseur qui a peur des troubles d’octobre ne viendra pas investir en Janvier, février, mars, c’est-à-dire, 6 ou 8 mois avant les élections...Les investisseurs continuent de faire confiance à l’économie ivoirienne qui a beaucoup de potentialités », s’est réjoui le Directeur général du Cepici qui n’a d’ailleurs pas manqué de souligner que, dans ses projections de croissance pour l’année 2021, la Banque mondiale table sur un taux de 7% pour la Côte d’Ivoire.
Un argument de poids pour Emmanuel Essis Esmel qui a exhorté les deux entreprises (Brassivoire et Mipa) visitées à continuer à faire confiance à la Côte d’Ivoire et à ses dirigeants.
En effet, se réjouissant du maintien de la totalité de son personnel malgré la crise sanitaire qui a fait chuter ses activités de près de 40%, l’émissaire du gouvernement a salué et félicité les dirigeants de la première. Installée en 2015, la brasserie a doublé sa capacité de production en deux ans, la faisant passer d’environ 700.000 hectolitres à 1,5 million d’hectolitres en 2017.
Quant à la seconde, spécialisée dans la fabrication et la distribution de plusieurs produits en Afrique de l’Ouest, elle a diversifié ses offres et prévoit malgré la crise sanitaire, de réaliser d’autres investissements à moyen et long terme. Laurent Théodore et Parodat Fabrice, directeur généraux respectifs de ces entreprises industrielles ont salué la visite du ministre et présenté quelques doléances, à propos desquelles, ce dernier a dit vouloir apporter des réponses, conformément aux différents dispositifs mis en place par le gouvernement dans le cadre du plan de soutien à l’activité économique.
A noter que, cette visite fait partie d’une série initiée par le Cepici en vue de s’enquérir de l’état de santé des entreprises, notamment celles bénéficiant des avantages liés au code des investissements.