Élection à la présidence de la Fif : « Pour la grandeur du football ivoirien », un projet entier
Candidat à la présidence de la Fédération ivoirienne de football (Fif), Sory Diabaté ne manque aucune occasion pour présenter son projet aux acteurs du sport-roi. Il s’agit, selon lui, d’un travail élaboré avec tous les acteurs de cette discipline. Un véritable plan de développement stratégique du football qui n’est autre que la continuité de ce qu’il a commencé avec les présidents Jacques Anouma et Sidy Diallo.
A l’arrivée, il voit un football ivoirien plus fort qui devra truster sa troisième Coupe d’Afrique des nations en 2023, au stade olympique d’Ebimpé, à Abidjan.
Pour Sory Diabaté, la Côte d’Ivoire doit passer à une autre étape du développement de son football. Du coup, au-delà de l’aspect financier (subvention aux clubs, aux groupements d’intérêt et aux Ligues régionales, infrastructures et fonctionnement), le candidat de la continuité n’oublie rien.
Conscient qu’une fédération forte s’adosse à des textes forts, Sory Diabaté et son staff ont prévu des amendements à certains niveaux des statuts et règlement intérieur. Notamment, à propos des mandats et du parrainage. S’il est élu, au soir du 5 septembre, Sory Diabaté pourrait présenter quelque chose de plus précis. « Les textes ne sont pas très clairs sur la fin des mandats et le parrainage des groupements d’intérêt. On va trouver le juste milieu pour satisfaire tout le monde », promet-il.
Tout cela est mentionné dans le deuxième point de son projet consacré à la gouvernance. Secrétaire général et vice-président chargé de la Ligue professionnelle sous le président Anouma et premier vice-président sous Sidy Diallo, il est, en effet, inutile de dire que Sory Diabaté connaît la maison du football.
« Nous allons adopter un nouveau cadre normatif intégrant toutes les évolutions annoncées en nous inspirant du modèle standard des statuts de la Fifa », souligne l’expert Fifa en Fifa en administration et management. Il compte surtout définir de nouvelles règles encadrant la participation aux assemblées et le droit de vote pour tenir compte de tous les membres actifs. Sory Diabaté songerait à repenser le système de parrainage des candidatures pour, dit-on, éviter des abus.
Pour Sory Diabaté, la Côte d’Ivoire doit passer à une autre étape du développement de son football. Du coup, au-delà de l’aspect financier (subvention aux clubs, aux groupements d’intérêt et aux Ligues régionales, infrastructures et fonctionnement), le candidat de la continuité n’oublie rien.
Conscient qu’une fédération forte s’adosse à des textes forts, Sory Diabaté et son staff ont prévu des amendements à certains niveaux des statuts et règlement intérieur. Notamment, à propos des mandats et du parrainage. S’il est élu, au soir du 5 septembre, Sory Diabaté pourrait présenter quelque chose de plus précis. « Les textes ne sont pas très clairs sur la fin des mandats et le parrainage des groupements d’intérêt. On va trouver le juste milieu pour satisfaire tout le monde », promet-il.
Tout cela est mentionné dans le deuxième point de son projet consacré à la gouvernance. Secrétaire général et vice-président chargé de la Ligue professionnelle sous le président Anouma et premier vice-président sous Sidy Diallo, il est, en effet, inutile de dire que Sory Diabaté connaît la maison du football.
« Nous allons adopter un nouveau cadre normatif intégrant toutes les évolutions annoncées en nous inspirant du modèle standard des statuts de la Fifa », souligne l’expert Fifa en Fifa en administration et management. Il compte surtout définir de nouvelles règles encadrant la participation aux assemblées et le droit de vote pour tenir compte de tous les membres actifs. Sory Diabaté songerait à repenser le système de parrainage des candidatures pour, dit-on, éviter des abus.